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ART2RUE 2 la bouscarasse Traditional Geocache

Hidden : 11/4/2013
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

ART2RUE 2 la bouscarasse


 

Graffitis et Tags, késako ?

Mais quel est la différence entre un tag et un graffiti ?

Pour les personnes ne s'y intéressant pas, le graffiti et le tag c'est la même chose, un gribouilli immonde marqué sur un mur afin de le rendre moche et avec pour inscriptions « Nike la police, Caine le boss » alors que c'est totalement faux, d'abord ces deux choses sont un art faisant partit de la famille du Hiphop

 

Mémoire de la vie quotidienne des humains depuis l’Antiquité, les graffitis ont toujours été un moyen d’expression, ludique, événementielle, revendicatrice, dénonciatrice, Contestataire, amoureuse, parfois votive. Qu’il s’agisse de symboles religieux, d’inscriptions militaires, de silhouettes humaines ou animales ou encore de simples ornements, ces dessins en disent long sur les modes de vie, les croyances ou les centres d’intérêts au fil des siècles. On les trouve sur les murs d’églises, de châteaux, de maisons, dans les cachots, les tours, les moulins à vent, les carrières souterraines, sur les rochers, etc ...

Le mot italien graffiti dérive du latin graphium (éraflure) qui tire son étymologie du grec graphein signifiant indifféremment écrire, dessiner ou peindre. Graffiti en langue française vient de l’italien graffito, terme désignant un stylet à écrire : c’est le nom donné aux dessins ou inscriptions calligraphiées, peintes, ou tracées de diverses manières (à différencier du tag, étiquette en anglais, qui correspond à la signature d’un nom).

 

HISTORIQUE

Le graffiti en soi est apparu en des temps immémoriaux les peintures rupestres réalisées il y a plusieurs millions d’années en sont un exemple. Il reste de nombreuses traces de graffiti dans de nombreuses civilisations, telles que la grêce antique ou la civilisation aztèque. Mais c’est lors du XXéme siècle qu’il prend un véritable essor, et devient le graffiti urbain tel qu’on le connaît aujourd’hui.

 

Le premier graffiti qui connut une vraie popularité est le fameux « Kilroy was here ». En effet, lors de la progression des troupes américaines sur le sol français, suite au débarquement de Normandie en 1944, les soldats inscrivaient « kilroy was here » accompagné d’un personnage avec un gros nez qui se cachait derrière un mur, comme un pied de nez à leurs camarades pour dire « j’y étais le premier ».Cela a entretenu de nombreuses rumeurs parmi les troupes, comme celle d’un « super GI ». Cette inscription figure aujourd’hui sur le mémorial consacré aux soldats de la Seconde Guerre Mondiale de Washington DC.

 

Le premier graffeur connu et réputé pour son oeuvre est cornbread, surnommé le « parrain du graffiti ». Il agit au début accompagné de Cool earl, il a commencé en 1967 par inscrire son nom sur des murs afin d’impressionner une femme dont il était épris, puis a eu acquis sa popularité grâce à la couverture médiatique de son œuvre. Les médias annonceront, à tort la mort de l’artiste en 1971, ce à quoi il répondit en peignant « cornbread lives » sur les flancs d’un éléphant du zoo de Philadelphie. Il cessa ses activités en 1971.

C’est justement à la fin des années 1960 que le graffiti a pris son essor populaire. En signe de protestation par rapport à la guerre du Vietnam, de nombreux signes de paix furent peints sur les murs des campus universitaires en Amérique mais aussi en Europe. Suite à quoi le graffiti « envahi » new York  Au départ la recherche de la réputation, de la popularité, se fait par la quantité de pièces, l’inaccessibilité des emplacements, les lieux le plus risqué, puis rapidement la réputation prend aussi en compte la qualité esthétique des pièces. Alors assez rapidement les codes du graffiti se mettent en place avec l’apparition de styles particuliers (tels que le lettrage dit « bubble » ou le lettrage « wildstyle »), et se confirme la tendance à privilégier des supports particuliers (les trains) ainsi que de pratiques souvent spectaculaires permises par les groupes qui se constituent (comme la peinture d’un wagon entier appelée «whole car»). Cette pratique est alors fortement réprimée dès la fin des années 1970, dans les rues et métro de New York, il se diffuse alors en d’autres lieux pour progressivement « envahir » les grandes villes américaines (Philadelphie, Washington…) Et européennes (Paris, Londres…).

 

LA CACHE

Elle va vous permettre de decouvrir un graff

pour finir

 

( merci a traceur pour son aide )

Additional Hints (Decrypt)

Qnaf ha avq qr srhvyyrf rg qr crgvgrf oenapurf, à 70pz qh fby

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)