LES MAISONS DE NAISSANCE
ET SAGES-FEMMES
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Présentation
En quoi consiste le travail d’une sage-femme? La sage-femme est une
professionnelle de la santé autonome qui offre un suivi complet et
global durant la période pré, per et postnatale. Pour elle, la
grossesse, l’accouchement et la période postnatale constituent des
évènements sains, naturels et normaux. Ses soins sont
individualisés et tiennent compte des dimensions physiques,
psychologiques et sociales touchées par l’évènement unique qu’est
la naissance d’un enfant.
Les maisons de naissance se fondent sur le principe
suivant : l’accouchement est un acte physiologique naturel et
les femmes en bonne santé possèdent les ressources nécessaires pour
faire les choix qui leur conviennent dans cette situation.
L’objectif des maisons de naissance est d’offrir un
environnement technique approprié qui est humain et individualisé,
avec un personnel capable de répondre aux besoins physiques,
émotionnels et psychosociaux des mères et de leur cercle intime.
Elles sont orientées sur la femme et la famille, tandis que les
centres hospitaliers le sont sur la « patiente ». Ce sont
de petites installations qui comptent seulement quelques chambres
avec le cachet d’une maison privée, mais toute l’infrastructure
nécessaire à un service de santé. On les nomme parfois maisons de
naissance autonomes pour les distinguer des services
« alternatifs » de maternité (chambres de naissance),
établis dans certains centres hospitaliers; en anglais, on les
appelle birthing centers ou chidbearing centers.
Aux États-Unis, la première maison de naissance a été fondée en
1975, à New York; il en existe maintenant plus d’une centaine. En
Europe, le mouvement s’est d'abord implanté en Allemagne (en 1987),
puis en Suisse, Autriche, Grande-Bretagne... En France, des
structures expérimentales, inscrites dans le plan périnatalité
1998, attendent encore le feu vert du gouvernement.
Au Québec, il existe actuellement (juillet 2007) neuf de ces
maisons: la Maison de Naissance Mimosa de Saint-Romuald, sur la
rive-sud de Québec; la Maison de Naissance Colette-Julien de
Mont-Joli, près de Rimouski; la Maison de Naissance de la Rivière
de Nicolet, sur la rive-sud de Trois-Rivières; le Centre de
Maternité de l’Estrie situé à Sherbrooke; la Maison de Naissance
Côte-des-Neiges à Montréal; la Maison de Naissance Lac St-Louis de
Pointe-Claire; la Maison de Naissance de l’Outaouais de Gatineau;
la Maison de Naissance des Laurentides à Blainville (la petite
dernière) et le Centre de santé Innulitsivik à Puvirnituq. Par
ailleurs, de nombreux projets de maisons de naissance sont
actuellement en élaboration et de nouvelles maisons de naissance
devraient voir le jour prochainement. Elles sont rattachées à des
CLSC (Centre local de services communautaires) sous l’autorité du
ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec. Elles
offrent toutes, sans frais, les services suivants :
- Suivi complet de maternité
- Suivi prénatal personnalisé.
- Accouchement (assistance tout au long du processus
d'accouchement).
- Suivi postnatal mère et bébé, incluant visites à
domicile.
- Assistance téléphonique 24 heures sur 24.
- Rencontres prénatales collectives.
- Rencontre postnatale collective
- Service d'aide-natale.
- Centre de documentation.
- Soirées d'information.
Petit
historique de l'accouchement
Bien que, depuis la nuit des temps, l’accouchement se soit
toujours déroulé à la maison, entre femmes, le milieu médical des
pays occidentaux l’a graduellement pris en charge. Au Québec, c’est
la mise en place de nouvelles institutions législatives et
scolaires encadrant la pratique et la formation médicales, au
XIXe siècle, qui annonce la disparition graduelle des
sages-femmes. En 1847, la loi créant le Collège des médecins leur
octroie le contrôle sur les interventions entourant l’accouchement.
Plus tard, l’obstétrique deviendra une spécialité médicale. À
compter des années 1960, la quasi-totalité des accouchements a lieu
en milieu hospitalier.
Au cours des années 1970, avec des revendications d’une grande
ampleur, des femmes ont cherché à reprendre la responsabilité et le
contrôle sur plusieurs secteurs de leur vie, dont l’accouchement.
Le travail de quelques scientifiques humanistes, comme
l’obstétricien français Frédéric Leboyer (auteur de Pour une
naissance sans violence) a beaucoup contribué à légitimer cette
démarche.
Devant la pression publique et compte tenu de l’obstination de
certaines sages-femmes à pratiquer leur métier, le gouvernement du
Québec adoptait, en 1990, la Loi sur la pratique des sages-femmes
dans le cadre de projets-pilotes. En 1999, l’Assemblée nationale
votait l’adoption du projet de loi 28 sur la pratique des
sages-femmes, qui autorisait la constitution d'un ordre
professionnel dont les membres accéderaient une profession
d'exercice exclusif et seraient régis par le Code des
professions.
Du droit de pratique des sages-femmes découle un autre droit,
fondamental au dire de nombreux groupes de pression, celui des
femmes et des familles de choisir le lieu de naissance de leur
enfant. Au Québec, l’accouchement à domicile, accompagné par une
sage-femme, est permis par la loi depuis mai 2004.
Applications
thérapeutiques
L’accès aux maisons de naissance est réservé à une clientèle ne
présentant pas de risques particuliers, dont la grossesse se
déroule normalement et pour laquelle on ne prévoit pas la nécessité
d’interventions médicales durant le travail ou l’accouchement
(c’est-à-dire la très grande majorité des femmes). Selon une
synthèse de recherches américaines, le mode de sélection effectué
par les maisons de naissance permet effectivement aux femmes dont
la grossesse est normale d’éviter les pratiques obstétriques
conçues pour les grossesses à risques. Lorsqu’elles sont inutiles,
ces pratiques peuvent nuire au déroulement harmonieux et serein de
l’accouchement.
Pour cette clientèle, une étude américaine a démontré que les
maisons de naissance sont au moins aussi sécuritaires que les
hôpitaux. Cette étude, publiée par le New England Journal of
Medecine en 1989, a été menée auprès de 84 maisons de
naissance où 11 814 femmes avaient accouché; de plus, le taux
de satisfaction de la clientèle interrogée atteignait
98 %.
Dans une étude comparative subséquente, menée entre ce groupe et
2 000 femmes à grossesse à bas risque ayant accouché à
l’hôpital, les chercheurs ont observé que celles accouchant à
l’hôpital étaient plus susceptibles de recevoir des soins de type
interventionniste, sans qu’il en résulte d’avantages pour elles ou
leur bébé.
Dans sa recherche évaluative au moment de l’implantation des
maisons de naissance, le gouvernement du Québec a confirmé que
certains problèmes pouvaient être réduits grâce au type
d’encadrement offert par les maisons de naissance, dont la
prématurité et les naissances de bébés de petit poids. Il a aussi
noté que la pratique des sages-femmes pouvait avoir des effets
bénéfiques, telle une diminution des interventions obstétricales en
pré et périnatal (moins d’échographies, de ruptures artificielles
des membranes, d'utilisations d'ocytocique,
de césariennes, de forceps, d'épisiotomies et de déchirures
périnéales du 3e et 4e degré, entre
autres).
Selon certaines recherches, le taux de mortalité serait même
inférieur dans les maisons de naissance que dans les centres
hospitaliers, pour le groupe de femmes à grossesse normale.
Une synthèse de six recherches (touchant près de 9 000
femmes) réalisée en 2001 par l’Université de Toronto n’a toutefois
pas dégagé de réduction de mortalité en maison de naissance. Quant
aux autres bénéfices observables dans ce contexte, l’auteur dit
qu’ils peuvent être attribuables à l’attention accrue des clientes
comme des soignants envers les signes annonciateurs de
complications.
Caractéristiques des maisons de
naissance
La maison de naissance est un endroit où on peut faire le suivi
complet de maternité d’une femme enceinte. On y vient durant la
grossesse, on y donne naissance et on y revient avec son bébé. Il
s’agit d’un endroit où la chaleur humaine transparaît, où les
femmes se sentent comme chez elles. On y effectue un maximum de 300
naissances par année. Les futures mamans peuvent y côtoyer d’autres
familles suivant le même parcours qu’elles. L’approche familiale
est de grande importance dans les maisons de naissance.
Un lieu paisible et agréable où, en plus des chambres, se
trouvent salle communautaire, bureau de consultation, centre de
documentation (allaitement, nutrition, psychologie, vaccination,
etc.), cuisine et aire de jeu pour les enfants. Des repas et
collations sont préparés par le personnel.
Une sage-femme est responsable du suivi dès le début d’une
grossesse jusqu’après la naissance de l’enfant; une deuxième
sage-femme assiste celle-ci lors de l’accouchement et assure les
rencontres de suivi après la naissance. Il s’agit en tout de 12 à
15 rencontres d’environ 45 minutes, toujours avec des
personnes familières et au courant du dossier.
Le conjoint (ou une autre personne) peut assister à toutes les
étapes; plus d’une personne peut être présente à
l’accouchement.
L’accouchement se fait dans une chambre confortable et intime
qui est munie de l'équipement nécessaire permettant d'assurer la
sécurité de la mère et du bébé. Elle comporte aussi : salle de
bain complète, grand lit, chaîne stéréo, téléphone, etc.
La femme a un plus grand choix de positions pour
l’accouchement.
La surveillance de l'évolution du travail pendant l’accouchement
s'effectue selon les normes reconnues en obstétrique et en
conformité avec le règlement sur les risques obstétricaux et
néonataux.
Lors de complications, la sage-femme est habilitée à intervenir;
elle peut demander une consultation à un médecin ou organiser un
transfert en centre hospitalier de façon rapide et sécuritaire.
Dans un cas de transfert, la sage-femme accompagne la mère et le
bébé et demeure responsable des soins jusqu'à la prise en charge
médicale.
Les minutes qui suivent la naissance sont empreintes de calme,
de chaleur et d’une surveillance discrète de la part de la
sage-femme qui demeure au moins trois heures sur les lieux après
l’arrivée du bébé afin de surveiller son état de santé et celui de
la mère, et aider à la première mise au sein. Par la suite,
l’aide-natale assure le soutien nécessaire tout au long du séjour
(de six à 24 heures, selon les cas).
Qu'est-ce que
l'accouchement aquatique?
On constate une augmentation des accouchements dans l'eau et ,
comme vous le découvrirez, il y a à cela de bonnes raisons.
Certains hôpitaux ont recherché une méthode plus humaine et plus
confortable pour les accouchements. C'est ainsi qu'on a vu
l'apparition des accouchement aquatiques. Cette forme
d'accouchement laisse beaucoup de liberté aux couples et assure une
expérience moins violente et moins frustrante de la naissance de
leur enfant. Il se pratique sans risque, notamment d'infection ou
d'inhalation, si toutefois les mesures d'hygiène et de sécurité
sont respectées. Les maisons de naissance offre aussi ce type
d'accouchement.
Brièvement, voici comment se déroule un accouchement dans l'eau:
Dans un premier temps, lorsque les contractions deviennent
douloureuses, la future maman se plonge dans un bain à env. 37°
(bain de dilatation) qui a un effet antispasmodique et relaxant.
Une fois dans l'eau, le col se dilate plus facilement et les
douleurs sont moins fortes. L'accouchement aquatique se fait dans
une baignoire transparente. La salle d'accouchement aquatique est
spécialement aménagée pour suggérer une totale décontraction et
éviter le rappel de la médicalisation. La future maman peut choisir
d'expulser son bébé hors de l'eau ou bien, si elle s'y sent bien,
elle peut accoucher dans l'eau. Avec l'accouchement aquatique, il y
a une forte diminution du taux de césariennes et d'autres
interventions médicales. Pour les futures maman désireuse
d'accoucher de cette manière, il faut savoir que la préparation
prénatale aquatique est indispensable pour mieux vivre sa grossesse
et l'accouchement dans l'eau. L'haptonomie est également indiquée
pour l'accouchement dans l'eau.
Les avantages de l'accouchement dans l'eau :
Pour la maman:
- L'eau chaude à 37° a un effet relaxant important ainsi, le
travail est plus rapide et plus facile.
- La douleur de l'accouchement est considérablement réduite
- Le rôle actif de la femme se fait dans un atmosphère calme,
non-médicalisée, intime, dans une ambiance de respect.
- La récupération de la maman après l'accouchement est meilleure
en effet, le déroulement spontané de l'accouchement et la
limitation des interventions médicales au stricte minimum aide la
maman à récupérer rapidement.
- Il y a moins d'épisotomies et de déchirures et celles-ci sont
très petites
- Il y a moins de stress
Pour le bébé :
- La naissance est plus douce, il y a donc moins de traumatismes
liés à la naissance.
- La douleur de l'accouchement est considérablement réduite
- Il n'y a pas d'effet dangereux, de médicaments ou
d'intervention pendant le travail.
- Le bébé est posé nu sur la poitrine de sa maman pour les
contacts de peau à peau, les caresses et les baisers.
Formation
Au Québec, depuis l’adoption du projet de loi 28 sur la pratique
des sages-femmes, c’est l’Université du Québec à Trois-Rivières
(UQTR) qui offre le programme de baccalauréat en pratique
sage-femme, une formation de quatre ans.
Pour avoir le droit de pratique, les sages-femmes québécoises
sont tenues de faire partie d’un ordre professionnel, l’Ordre des
sages-femmes du Québec (OSFQ).
La première année de formation, qui se déroule exclusivement sur
le campus de l’université, est principalement consacrée à
l'acquisition de connaissances théoriques en sciences biomédicales
et en sciences sociales. Les trois années subséquentes sont
constituées de stages cliniques qui se déroulent principalement en
Maisons de naissances. L’étudiante est alors guidée par une
sage-femme préceptrice d’expérience qui l’accompagne au fil de ses
apprentissages. Un stage en centre hospitalier et un stage en
milieu communautaire sont également prévus.
Toutes les sages-femmes ayant un permis de pratique ont été
évaluées par le comité d'admission à la pratique en collaboration
avec le Centre d'évaluation en sciences de la santé de l'Université
Laval. Elles sont plus d’une cinquantaine à pratiquer sur le
territoire québécois.
Contre-indications
- À cause de leur âge avancé, de certaines maladies comme le
diabète, ou de grossesses antérieures difficiles, certaines femmes
(moins de 10 %) ne peuvent être acceptées en maison de
naissance. Les sages-femmes sont formées pour déceler les
grossesses à risque.
Livres,
etc.
Brabant Isabelle. Pour une naissance heureuse, Éditions
Saint-Martin, 1991. Nouvelle édition revue et mise à jour :
2001.
Un livre rempli de coeur et d’intelligence écrit par une des
leaders du mouvement pour la reconnaissance des sages-femmes
au Québec, avec de magnifiques photos en noir et blanc.
Grégoire Lysane et St-Amant Stéphanie (Dir). Au coeur de la
naissance : témoignages et réflexions sur l’accouchement,
Éditions du remue-ménage, Canada, 2004.
Des parents racontent la naissance de leurs enfants par
accouchement naturel à l’hôpital, en maison de naissance ou à la
maison. Récits riches et touchants, entrecoupés d’informations
alimentant le débat sur la médicalisation de l’accouchement. Un
must pour les futurs parents.
Leboyer Frédéric. Pour une naissance sans violence, Le
Seuil, 1974.
Un grand classique qui permet aux parents de comprendre les
sensations et le dépaysement qu'éprouve le nouveau-né au moment de
naître, et de préparer l’accouchement en conséquence. Superbement
illustré.
Vadeboncoeur Hélène. Une autre césarienne? Non merci,
Québec-Amérique, 1989.
Ce livre traite de l'accouchement vaginal après césarienne (AVAC).
Il démontre que toutes les femmes ayant déjà subi une césarienne
peuvent tenter d'accoucher naturellement. Rempli d'informations
techniques et de statistiques, il contient aussi une vingtaine de
témoignages de femmes ou de couples ayant vécu un AVAC.
Le site Périnatalité.info (www.perinatalite.info) propose
dans sa section Pour aller plus loin une riche et
intéressante bibliographie commentée de livres et de vidéos.
Consultez également le catalogue thématique de la bibliothèque de
PasseportSanté.net.
Sites
d’intérêt
L'ordre des Sages Femme du Québec.
Site officiel
www.osfq.org
Birth Centers Online
Excellent site de l’Association américaine des maisons de
naissance, particulièrement élaboré.
www.birthcenters.org
Doulas - Accompagner la naissance
Le site du premier regroupement francais des doulas. Une doula est
une femme qui a pour vocation d’aider une autre femme et son
entourage pendant la grossesse, l'accouchement et la période
postnatale, grâce à son expérience et à sa formation. Elle n’est
toutefois pas sage-femme.
www.doulas.info
Fédération Québécoise Nourri-Source
Information sur l’allaitement maternel et réseau de
« marraines d’allaitement » bénévoles.
www.nourri-source.org
Maison de naissance Mimosa
Excellent site de la seule maison de la région de la ville de
Québec. On y trouve de très nombreux renseignements et liens.
www.mimosa.qc.ca
Naissance.ws
Un site d’information sur ce qui se passe autour de la naissance
dans les pays francophones. Contient un répertoire de nombreuses
associations.
www.fraternet.org
N.P.O. Sages-femmes
Une association de sages-femmes françaises oeuvrant à la mise en
place de maisons de naissance. Leur sigle signifie Neurosciences et
Psychologie au service de l'Obstétrique.
www.nposagesfemmes.org
Pour une naissance heureuse
Site français très à jour avec beaucoup d’information, d’adresses
et de liens.
www.chez.com
Regroupement Naissance-Renaissance
Cet organisme québécois d'information, de formation, d'éducation et
de recherche sur la périnatalité est très actif depuis plusieurs
années. Il regroupe de nombreuses associations.
www.naissance-renaissance.qc.ca
Réseau québécois d'accompagnantes à la naissance
Présentation complète et imagée des services offerts par les
accompagnantes : aide prénatale, postnatale et lors de
l'accouchement, conseils de tous ordres, support à l'allaitement,
partage des émotions, et bien plus.
www.naissance.ca
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À partir du texte ci-haut - répondez aux questions
suivantes
LES QUESTIONS
Question A :
À compter de quelles décénies la quasi-totalité des accouchements
ont eu lieu en milieu hospitalier:
- 1940 (3)
- 1960 (6)
- 1950 (4)
- 1970 (5)
Question B :
Au Québec, l’accouchement à domicile, accompagné par une
sage-femme, est permis par la loi depuis mai ____
- 2001 (4)
- 2002 (6)
- 2004 (3)
- 2000 (5)
Question C:
Aux États-Unis, la première maison de naissance a été fondée en
____
- 2005 (4)
- 1965 (7)
- 1985 (6)
- 1975 (5)
Question D :
Combien de Maison de naissance existent au Québec (juillet
2007)
- Neuf (1)
- Six (2)
- Douze (3)
- Trois (4)
Question E :
Combien une maison des naissances effectue de naissance par année
:
- 500 (8)
- 300 (9)
- 100 (7)
- 700 (6)
Question F :
le programme de baccalauréat en pratique sage-femme, une formation
de ____ ans.
- Quatre (6)
- Trois (4)
- Deux (5)
Question G :
Les maisons de naissance sont rattachées à des CLSC :
- Vrai (8)
- Faux (7)
Question H :
Les sages-femmes sont formées pour déceler les grossesses à
risque.
- Faux (4)
- Vrai (8)
La cache se trouve aus coordonnées suivantes: N 45° 2A.BCD W073°
4E.FGH
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