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This cache is located behind the Association Canado-Américaine building.
This cache is of part of The New England Franco-Route Geotour (GT4A7). The New England Franco-Route will guide you to the places, in Maine, New Hampshire, Massachusetts and Rhode Island where thousands of French Canadians settled to work, live and create new communities at the turn of the 20th century.
Once settled in their new communities, French-Canadian immigrants began to form cultural associations and mutual benefit societies. The latter had both a social and an economic function. For a small, regular contribution, members were provided with insurance in case they were injured or their family’s breadwinner died. At the end of the nineteenth century, community leaders began to push to federate such organizations at a regional level, which would broaden their financial means. In 1896, the Association Canado-Américaine was born. Its first president was T. G. Biron, a foreman in a textile factory.
The ACA provided insurance but it also served as an advocacy group. It was formally Catholic and only French could be used in its proceedings; it often advocated for the cultural aspirations of French Canadians in the United States. In its early years, the ACA met in various locations in downtown Manchester. In 1929, it acquired the Concord Street property owned by the People’s Baptist Church. The organization renovated the building and rebuilt the façade. There it would stay for sixty years.
In 1990, the ACA ended its activities and from its ashes a new organization was born, the Franco-American Centre, “non-profit organization that promotes French language, culture and heritage through classes, social activities and cultural events.” The FAC sold the building in 2010 and St. Anselm’s College became home to its extensive library.
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Cette cache est située derrière l'édifice de l'Association Canado-Américaine.
Cette cache fait partie du Géotour franco-américain de la Nouvelle-Angleterre (GT4A7). La Franco-Route de la Nouvelle-Angleterre vous guidera vers les endroits où des milliers de Canadiens-Français se sont installés pour travailler, vivre et créer de nouvelles communautés au tournant du 20e siècle.
En formant de nouvelles communautés permanentes en sol américain, les Canadiens français venus du Québec créèrent des associations à caractère culturel et des sociétés d’aide mutuelle. Ces dernières avaient une fonction à la fois sociale et économique. En échange d’une cotisation régulière, les membres obtenaient une assurance en cas de maladie ou de décès dans la famille. À la fin du dix-neuvième siècle, les leaders franco-américains commencèrent à promouvoir une fédération des sociétés mutualistes locales, ce qui étendrait leurs ressources financières. C’est ainsi que l’Association Canado-Américaine s’organisa en 1896. T. G. Biron, un contremaître de filature, en fut le premier président.
L’ACA offrait des polices d’assurance mais servait aussi d’organisation de défense des droits des « Francos ». Elle était formellement catholique et toutes ses activités officielles devaient se produire en français; elle était toujours prête à soutenir les aspirations culturelles de ses membres. Dans ses premières heures, ses réunions eurent lieu en divers endroit dans le centre-ville de Manchester. Enfin, en 1929, l’association fit l’acquisition d’un immeuble appartenant à la People’s Baptist Church. Elle rénova l’édifice et rebâtit la façade. Elle demeura à cet endroit pendant plus de soixante ans.
En 1990, l’ACA mit fin à ses activités financières. De ses cendres naquit le Centre franco-américain, une association à but non lucratif qui vise à préserver la langue, la culture et l’héritage français du New Hampshire en organisant des cours, des activités sociales et une variété d’événements culturels. Le Centre franco-américain se départit de cet édifice en 2010 et le collège St. Anselm prit charge de la vaste collection de livres et de documents héritée de l’ACA.
