Débarcadère, lettre D de l'alphabet deux-sévrien
L'Alphabet deux-sévrien est un ensemble de caches ayant pour principe les règles suivantes :
- Le nom de la cache posée commencera de la manière suivante : "Aiript, lettre A de l'alphabet deux-sévrien" (exemple)
- 1er mot : terme choisi en rapport avec la lettre et le spot, ce terme peut-être un lieu ou un thème, une allusion, etc.
- Suivi de 'lettre XXX de l'alphabet deux-sévrien"
- Les lettres doivent être utilisée dans l'ordre alphabétique
- La cache doit être posée en Deux-Sèvres, n'importe où dans les limites du département
- Toutes les tailles (large, regular, etc.), tous les types de caches (letter, Wherigo, multi, mysteries, etc.), toutes les difficultés et tous les terrains sont possibles
- La personne qui se propose a une semaine pour poser la cache suivante. Il indiquera dans son log son intention de poser la cache suivante de la série. S'il ne peut pas le faire pour une raison valable alors le deuxième à se proposer prendra le relais
- Le descriptif de la cache contiendra les présentes règles (je tiens à disposition le code html si nécessaire) et sera suivi d'une explication sur le terme choisi pour la cache.
La cache vous invite à la découverte d'un débarcadère, vous proposant une ballade en barque, plus connue sous le nom de "plate" ou de "batai" dans le marais.
Pourquoi utiliser le terme débarcadère plutôt que celui d'embarcadère?
Tout simplement parce que les touristes finissent tous par débarquer à Coulon.
Ce village s’est forgé la réputation de capitale touristique depuis qu’un Coulonnais, surnommé «l’Amiral», organisa en 1913, à la demande du Syndicat d’Initiative de Niort, les premières promenades en barque. Depuis, avec certains excès très mercantiles, tous les services, ou presque, y sont proposés.
En raison de l'emplacement particulier de la cache, et dans le but de préserver l'intérêt de la recherche, merci de ne pas poster de commentaires ou de photos spoiler
Entre Niort et Marans, Coulon fut un port très important par lequel passaient les marchandises venant de l'Aunis, du Poitou et de la saintonge.
Coulon eut ses greniers à sel. Louis XI, ayant appris que des marchands vendaient du sel sans permission, demanda le 8 février 1425, au Sénéchal du Poitou de fermer les petits greniers, notamment celui de Coulon.
Le Duc Jean de Berry, par lettre patente datée du 1er juin 1377, ordonne de lever une imposition sur toutes les marchandises entrant dans les ports de la Sèvre.
Ce droit, appelé " coutume de Sèvre ", sera, à Coulon prélevé au grand port de l'église, puis, à partir de 1583, dans la maison-auberge de la Coutume, dépendante de la seigneurie de Coulon
Les droits de coutume étaient perçus sur les marchandises montant et descendant la Sèvre : Grande Coutume.
Un droit sur les marchandises passant et repassant sur la "route d'eau " de Coulon à La Garette : Petite Coutume.