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En complément de la première série de 5 caches, voici une deuxième série de 5 caches sans véritable difficulté afin de découvrir la 2ème partie du parc des 7 collines, à proximité cette fois du chateau de la Reynarde.
Le château de La Reynarde a été construit au XVIIIe et XIXe siècle. C’est un ancien fief médiéval aménagé en bastide au XVIIIe siècle, avec bâtiment principal, chapelle, dépendances, parc paysager. La rénovation du château a été réalisée vers 1850 et les derniers aménagements des extérieurs datent de la fin du XIXe siècle. Propriété d’une association, la demeure est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1996.
Cette série est séparé de la première pour plusieurs raisons : Permettre une petite boucle courte sur la première série, l'abscence de point de parking facile sur la deuxième partie et de toutes façons une vrai séparation physique avec les ruines de murs qui séparaient les différents domaines historiques. Enfin, il fallait impérativement aborder brièvement l'histoire du Canal de Marseille dans cette partie du parc ou il reste quelques vestiges, canal qui apporta l'eau source de toute vie en quantité importante à Marseille et sa région dès 1849.
Maximin-Dominique Consolat, maire de Marseille de 1832 à 1843, décida en 1834 « quoi qu'il advienne, quoi qu'il en coûte » de faire venir à Marseille l'eau de la rivière la plus proche, la Durance, pourtant lointaine et séparée de Marseille par de nombreux chaînons montagneux (chaîne des Côtes, plateau de l'Arbois, massif de l'Étoile). L'eau devait être captée assez haut sur la Durance pour pouvoir, par simple gravité, effectuer tout le parcours, contournant ou traversant les collines intermédiaires, et parvenir à Marseille au point le plus haut de la ville, à Saint-Antoine (altitude 150 mètres), de manière à la desservir en totalité.
Nous commencons donc directement cette série par une multi visuelle à proximité de certains équipements du Canal de Marseille et de cette porte verte qui a son importance. Elle se situe à quelques dizaines de mètres à peine de la cascade des rocailleux, cache numéro 3.
Les 4 caches traditionnelles qui suivent contiennent la aussi des textes inspirés ou issus de l'oeuvre de Marcel Pagnol qu'il faudra bien lire, car ils contiennent une nouvelle série d'indices pour la cache n°5 bonus mystère de la première série, afin de permettre de retrouver cette bonus même si une des caches du parcours venait à disparaître.
Après avoir ou non trouvé la cache 3 - Le parc des 7 collines, vous pouvez vous engager sur cette deuxième boucle.
Pour cela, passez la barrière et rejoignez la porte verte au WP de la cache sur la gauche. Vous longerez une partie de la rigole 35 du canal de Marseille. Attention, sur la suite de cette série, vous pouvez tomber à tout moment sur des bouts de cette rigole 35 pas forcément visibles, le mode sanglier en dehors des WP et du trajet proposé peu s'avérer dangereux.
Si vous ne savez pas l'importance que cette porte (si c'est bien celle d'origine) à pu avoir dans l'enfance de Marcel Pagnol, patience, une fois la cache trouvée, cela vour sera expliqué en partie dans le texte.
Pour trouver la cache finale, il vous faudra bien observer la porte et son environnement. Une fois devant la porte, vous pouvez aussi admirer les ruines du moulin à roue à augets de la Buzine qui pourrait être le point de départ du vaste système d'irrigation des terres du parc.
Voici les indices à relever devant la porte :
Les coordonnées finales sont de la forme : N 43° 17.DAM E 005° 30.IEN
D = I
I = Nombre de clous visibles en haut de la porte - 1
A = Nombre de serrure à la porte
M = N
N = Nombre de vitres encore intactes à la fenêtre du moulin (non ce n'est pas un piège)
E = Nombre de briques sur l'arcade extérieure du haut de la porte / 2
Bonne chance pour la résolution de cette petite mystère de la rigole 35.
Un WP est disponible pour poursuivre le trajet vers la cache finale sur un petit chemin, plus sympa que le bord de route. Le petit mode sanglier au final ne présente pas de risque ici.
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