[FR] Vous
ne comprenez rien aux mysteries ? Cette série Izymystery est faite pour
vous !
Il
suffit souvent d'observer l'énigme en se concentrant et la solution
finit par vous sauter aux yeux ...
[EN] You
understand nothing in mysteries ? This series Izymystery is made for you
!
It
is often enough to concentrate an observe the enigma and the solution
comes quite obvious to you ...
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La boîte n'est pas aux
coordonnées indiquées
Histoires
de dragons verts
Il existe tant
d’histoires au sujet des dragons verts… toutes aussi angoissantes les
unes que les autres.
Il y a ceux que
l’on voit dans les contes et ceux qui ressemblent à de gros lézards. Mon
père me contait souvent leurs histoires. Pour m’effrayer. Me dissuader
de m’aventurer dans ces bois. Mais durant toutes ces années il n’a fait
qu’attiser ma curiosité. Saurez vous aussi lire ces deux histoires
jusqu’à la fin et affronter les dragons verts ? Vous aurez alors
peut-être une chance de résoudre cette Izy...
Dans les pays du
Grand Nord, une légende veut que le dragon vert ne sorte qu’une fois par
an. Une unique fois pour déployer ses ailes flamboyantes et se nourrir.
Dissimulé dans une brume toxique, il parcourt la forêt de Saint Nicolas à
la recherche d’une proie. Un ours, un cerf, une tortue, un lapin ou un
homme… n’importe quel animal pouvant assouvir sa faim.
Son jeu favori : la chasse aux géocacheurs. Rapide et silencieux, il est
six sans pitié. Il ne laisse aucune chance… Lorsque vous apercevez ses
grands yeux noirs, il est trop tard. Courir ne sert à rien. Vous ne
pourrez lui échapper. Votre triste sort est scellé à l’instant même où le
dragon vert a jeté son dévolu sur vous.
Aujourd’hui, il est de retour. Et j’ai eu l’honneur, ou le malheur
quatre-vingt, de croiser son chemin. Je me suis lancé à sa recherche et
l’ai enfin trouvé. J'espérais cet instant avec tellement d’impatience !
Les histoires ne lui rendent pas hommage. Ses écailles, telles des
rasoirs, sont aussi splendides que des milliers d’émeraudes. Son agilité
est si stupéfiante, digne des félins les plus féroces. Le noir de ses
prunelles est aussi sombre et profond que de l’onyx… Il est si majestueux.
Si magnifique…
Tapi dans un fourré, je ne peux m’empêcher de l’admirer. Malgré la brume
qui s’insinue dans mes poumons les réduisant en cendres. Malgré les larmes
d’acide qui inondent mon visage… Mais ce spectacle vaut toutes les
souffrances. Il vaut bien la mort.
Si vous lisez
cette trois note, c’est que j’ai succombé à sa morsure. Dites à mes
parents que je les aime. Que je ne voulais pas leur faire de la peine.
Mais c'était plus fort que moi... je devais savoir. Je devais apercevoir
le grand dragon vert...
Le dragon de Komodo
Ailleurs, à l’Est de
l’Europe, on raconte une toute autre histoire : celle de Guillaume et
du dragon vert.
Il était une fois, dans un pays lointain au-delà des Alpes autrichiennes,
un peuple de petits hommes heureux de vivre dans leur vallée verdoyante.
D’un côté de cette vallée, une haute montagne abrupte et aride qui les
protège du vent du Nord, de l’autre, une colline ensoleillée toute la
journée, on peut voir les chèvres et les vaches Limousines (comme les aime
Stéphane des Diabloz) paître paisiblement à l’ombre des cerisiers en
fleurs. L’herbe est grasse et tout pousse facilement dans cette terre
riche. Un joli ruisseau, où se baignent des tortues sostraniennes,
s’écoule en son milieu, tantôt chantant, tantôt roucoulant. Il vient de
là-bas le joli ruisseau, tout là-haut au bout de la vallée de la Creuse.
Un éboulement de gros rochers empêche nos amis de passer par là, mais lui,
le joli ruisseau, passe où il veut entre les cailloux. Il dévale la pente
douce, arrose les petits jardins devant des maisonnettes en bois et
poursuit son chemin au bout de la vallée.
Ah, ce bout de vallée ! cet espace vers l’inconnu ! personne ne l’a jamais
vu. On dit qu’il existe un grand ruisseau, très large et très bleu qu’on
appelle la mer, on dit que la montagne se jette dans la mer, on dit
beaucoup d’histoires le soir à la veillée mais personne n’a pu s’aventurer
de l’autre côté de la vallée à cause du dragon vert.
Le dragon vert vit dans une grotte cachée dans le flanc de la montagne,
juste au bout de la vallée. Il garde le passage et chaque fois qu’un
habitant essaye de passer devant la grotte, il sort en claudiquant d’une
patte sur l’autre, lourdement mais vivement. Il ouvre sa grosse gueule et
lance d’immenses flammes rouges, bleues, jaunes dans un bruit infernal
d’ouragan en dévastant tout autour de lui.
Malheur à celui qui se trouve sur son passage, car le dragon vert brûle
tout se qui passe à sa portée.
Dans ce village si tranquille de Saint Nicolas habite Guillaume, c’est un
garçon intelligent et très curieux. C’est pour cela qu’il voudrait bien
voir ce qui se passe au bout de la vallée. Les histoires de grandes
personnes ne l’intéresse pas, ce qu’il veut lui, c’est découvrir le monde
et les habitants. Il paraît qu’il y a des hommes très grands, des hommes
noirs et même des blancs, lui il est plutôt jaune avec des yeux bridés.
Tout cela l’intrigue, et sa colère monte contre le dragon vert qui les
empêche de passer.
Comme tous les enfants, Guillaume se rend tous les matins au ruisseau y
puiser l’eau dans un grand seau. Il en profite pour observer le monstre.
Celui-ci ne quitte son refuge que pour griller quelques herbes ou quelques
animaux et s’en régaler avant de retourner à sa tanière. Il ne va jamais
bien loin, en tout cas jamais assez pour espérer passer trois sans être vu
près de lui.
Un matin, Guillaume s’approche un peu plus que d’habitude et voit son
ennemi pointer le bout de sa gueule derrière le rocher, les naseaux
s’écarquillent, les mâchoires s’entrouvrent, un bout de langue se montre
puis la pointe d’une flamme. Guillaume retient son souffle. Un œil
apparaît puis les deux yeux se tournent vers lui. La peur lui sert le
ventre et sentant la chaleur des flammes qui commencent à fuser, il prend
de l’élan et lance le contenu du seau qu’il vient de remplir dans la
gueule du monstre.
Un crépitement sinistre se fait entendre, Guillaume ne bouge pas. Il ne
peut pas, la peur l’en empêche. Un raclement de gorge le réveille soudain
de sa torpeur et il n’en croit pas ses yeux : l’énorme dragon vert tousse
et crache des nuages de fumée noire et supplie :
- « de l’eau, de l’eau »
Guillaume récupère son seau, le remplit vivement et jette à nouveau toute
l’eau dans la gueule du monstre.
- « Merci, merci Guillaume, tu viens de me rendre un fier service.
- Mais tu parles dragon vert ?
- Eh oui, et c’est même pour cela quatre-vingt que j’ouvre la gueule
chaque fois qu’un homme passe. Malheureusement, chaque fois ce sont des
flammes qui sortent et je ne parviens pas à me faire comprendre.
- Pauvre dragon vert, comme tu as dû souffrir tout seul dans ta grotte !
- Oh oui Guillaume. Veux tu devenir mon ami ?
- Mais bien sûr et si tu veux je t’emmène avec moi parcourir le monde.
Et c’est ainsi que Guillaume et le dragon vert s’en allèrent à la
découverte dix de l’univers.
Mais les petits hommes de la vallée restèrent sagement dans leur village
merveilleux ; ils racontent encore le soir à la veillée l’histoire de
Guillaume et du dragon vert.
(D'après
le texte de L.S.Martins et un conte d’un auteur inconnu)
La
boîte se trouve en N 45° 48.XXX' E 1° 26.YYY'
XXX
et YYY sont à trouver ci-dessus
Pourquoi
"VER(T)"
/
Why "VER(T)" ?
[FR]
Ma
première cache posée (GC3VHY2) était une boîte verte, avec un stylo
vert, un log book vert et des objets d'échange verts. Ainsi est née
l'idée de placer les caches qui ont suivi sous le signe du "VERT" et de
proposer un challenge consistant à y déposer de préférence des objets "VERTs". Ce challenge ne peut malheureusement pas
concerner les caches de taille nano ou micro.
Sorry,
no English version is available for this geocache
It
is not possible to translate these two stories written in French. The
solution is to find in the text of the above stories (think in French).
You are looking for these coordinates : N 45° 48.XXX' E 1°
26.YYY'
A voir à proximité : Les Pierres Initiatiques de Saint Nicolas
En
Haute-Loire, Jean-Marie Pidou a hérité d'une ancienne carrière de
granit longtemps exploitée par son père. Depuis, il a appris à
sculpter seul cette matière et aménage au fil des années l’espace
des « Pierres initiatiques de Saint-Nicolas », un endroit atypique
qui fait immédiatement penser à l’oeuvre du facteur Cheval.
Il propose une
visite guidée de près de 200 sculptures en granit qui correspondent
à environ 20000 heures de travail et un village d’architectures
atypiques comprenant sa nouvelle tour "Saint-Léonard". Le tout
représente des personnages, des animaux et des monuments souvent
traités avec humour.
Vous pourrez
interroger le créateur de ces sculptures sur les techniques de
taille, les textes gravés au dos de certaines œuvres, la
géobiologie, la métaphysique (navigant souvent entre ésotérisme et
complotisme)… et mesurer votre « aura ».
Une galerie de
peintures représentatives des plus beaux sites du Limousin et des
travaux champêtres d'autrefois, œuvres plus anciennes du même
artiste, clôture la visite.