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[#030 CEL] Beaumont-les-Autels Traditional Geocache

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gemiclo28: Archivage de cette cache afin de laisser de la place pour une autre dans le secteur.

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Hidden : 6/26/2017
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Les communes d'Eure-et-Loir [CEL]

Cette cache fait partie de la série "401 communes en Eure-et-Loir [CEL]".

Il s'agit d'une idée assez simple : vous faire découvrir toutes les communes que compte notre département.

Pour relever ce défi, un groupe de géocacheurs s'est créé afin d'organiser au mieux la pose des caches. Ces dernières peuvent être de différents types et de différentes tailles.

#030 - Beaumont les Autels



Nom des habitants : Beaumontais, beaumontaises

Population : 426 (recensement de 2014)

Superficie : 2100 hectares

Densité : 20,28 hab./km²

Les armes de la commune de Beaumont-les-Autels se blasonnent ainsi :
de sinople aux deux ombres de léopards l’un sur l’autre.

Beaumont-les-Autels est une petite commune du centre-ouest de la France, située dans le département de l' Eure-et-Loir et de la région Centre.
Elle fait partie de la Communauté de communes "du Perche".
Les villes voisines sont Argenvilliers, Miermaigne, Vichères, La Gaudaine, Béthonvilliers.
Situé à 221 mètres d'altitude, la rivière L’Ozanne est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Beaumont-les-Autels.

Beaumont-les-Autels

Le village est le fruit de la réunion de Beaumont-Le-Chartif et des Autels-Tuboeufs par ordonnance royale du 06/02/1835.

Beaumont, vient de Bellus Mons, un lieu d'où on avait une belle vue. Il était dit chétif,ou Chartif, car n'étant pas fortifié il fut l'objet de plusieurs pillages et d'assauts chaque fois réussi, vers le XVe et le XVIe siécle.

Le château actuel a été construit dans les années 1580 par Jean II de Blosset, et fut restauré après la révolution par Joseph Augustin, baron de Besenval.

La route d'Orléans à Saint-Malo, qui traverse Beaumont fut faite, sur ce point, par corvées, ce qui occasionna plusieurs rébellions. Un certain nombre des corvéables furent mis en prison et seraient même allés aux fers, sans l'intervention de Mme de Colbert. Les rebelles étaient principalement de la commune d'Unverre.

En 1844, Beaumont avait un bureau de bienfaisance, un notaire, un huissier, un bureau de distribution de la poste-aux-lettres et un relai de poste. La marché se tenait le dimanche.

Il y avait également une fabrique de faïence et de poterie.

Sources : Annuaire d'Eure-et-Loir 1844, Le Château de Beaumont-les-Autels par le Vicomte de Souancé.

Beaumont-le-Chartif

Beaumont (Bellus Mons), doit son nom à sa position sur un des points les plus élevés du département.

La ville de Beaumont, comme l'on disait au XIIIe et XIVe siècle, est une ancienne châtellenie et prévosté. Dès le XIIe siècle elle était gouvernée par des seigneurs ; sa population était plus considérable qu'aujourd'hui.

L'église avait trois chapelles desservies chacune par un prêtre, sans compter les chapelains du châtelain.

En 1467, on stipulait mesure de Beaumont et les halles existaient encore en 1704.

La terre et la châtellenie de Beaumont dépendaient de la coutume de Chartres, tandis que le fief, château et manoir de la Panse relevaient de celle du Grand-Perche. La limite était tracée par le ruisseau descendant du chemin d'Argenvilliers à la Gaudinière, qui séparait les deux provinces ; elle passait par le milieu de deux étangs auprès de l'ancienne place du château de la Panse, qui fut rasé par les Anglais au XVe siècle.

A cette époque Beaumont était tellement déchu de son ancienne splendeur qu'on l'appela Cheitif, d'où par corruption nous avons fait Chartif.

Source : Dictionnaire communes et hameaux Eure-et-Loir

Les-Autels-Tuboeuf

La paroisse des Autels-Tuboeuf située dans la province du Perche, châtellenie de Nogent, dépendait de la Généralité d'Alençon, Election de Mortagne entre 1636 et 1685, et de la Généralité d'Orléans, Election de Chartres de 1685 à 1790. Elle aurait été détachée de Miermaigne en 1409. (Cahier Percheron n° 88)

A la révolution, la commune fut rattachée au canton d'Authon-du-Perche.

A cette époque l'église tombait en ruine et les finances manquaient pour la reconstruire, par ordonnance du 28/12/1807, approuvée par le décret impérial du 28/08/1808, l'Evêque de Versailles réunit la paroisse à celle de Béthonvilliers, et tous les biens deviennent la propriété de la Fabrique de celle-ci.

Le 28/01/1827, M. Menault, curé, célèbre la dernière messe dans cette église qui menace ruine, le bâtiment est définitivement interdit en 1829, et le mobilier est tranféré à Béthonvilliers. Une querelle s'installe entre les paroissiens des Autels-Tuboeuf et de Béthonvilliers, dont la cloche est le principal enjeu.

Aussi, lorsqu'en 1834, le conseil municipal des Autels-Tuboeuf délibère sur la commune de rattachement à choisir, il opte pour Beaumont-le-Chartif. L'Evêque n'approuve pas ce choix, mais par ordonnance du 05/01/1835 la réunion est entérinée par le Roi. Le 30/03/1835 l'Êvêque distrait la paroisse des Autels-Tuboeuf de celle de Béthonvilliers pour la réunir à Beaumont-les-Autels.

Source : Querelles de clocher par l'Abbé Roland LEFEVRE

Église Notre-Dame

Eglise Notre Dame de Beaumont les Autels : L’église Notre Dame du XVIème siècle qui conserve un chevet à pans coupés. Attenante au château, l’église Notre-Dame est un bâtiment modeste très remanié. Au nord, l’église Notre-Dame est un bâtiment modeste très remanié. Au nord, elle est flanquée de la chapelle du château qui est la plus ancienne (XVIéme siècle) ; au sud, la chapelle Sainte-Anne date du XVIIéme siècle.

 

Château de l'Ozanne

Manoir des Cailleaux

Fief attesté dès 1370, mais les constructions ne remontent pas au delà de la fin du XVe siècle. Deux campagnes de construction peuvent se distinguer, la première comprend la façade sud, la tourelle d'escalier et les trois premières travées de la façade nord à partir de l'escalier. La chapelle ainsi que le pavillon qui la jouxte sur la façade nord appartiennent à la seconde phase. Le pignon ouest et les dernières travées orientales de la façade nord ont été percés au XVIIIe et XIXe siècle. Ce manoir s'inscrit dans la tradition des bâtiments sur plan barlong avec un escalier hors oeuvre et une façade revêtue de briques, mais se distingue du plan type par sa dimension, le rejet de l'escalier en arrière du manoir et l'absence de décor sculpté.

Eléments protégès MH: le manoir des Cailleaux en totalité: inscription par arrêté du 19 juillet 2005. (1)

 

Château de Beaumont-les-Autels

Le château fut tout d'abord une simple tour féodale. Sa position stratégique à l'entrée du Perche en fit un lieu convoité par les troupes anglaises qui s'en emparèrent au XIVe siècle. A la même époque, l'illustre famille d'Estouteville acquit le château et ses fiefs. C'est au milieu du XVIe siècle que fut entamée la construction du nouveau château par Jean II du Blosset. Elle fut achevée vers 1580. La puissante famille de Rohan posséda le domaine au XVIIe siècle. La demeure ne fut pas épargnée lors de la révolution, les biens furent séquestrés et vendus, et le propriétaire, Monsieur de Reverseaux, arrêté à Chartres est condamné à mort en février 1794. Il fallut attendre 1804 pour voir le château de Beaumont enfin restauré par Joseph Augustin, baron de Besenval. Les embellissements dus au baron de Layre, à la fin du XIXe siècle, apporteront à la demeure le caractère que nous lui connaissons aujourd'hui.

Extrait du livre : Le château de Beaumont-les-Autels par le Vicomte Hector Guillier de Souancé

 

 

 

 

La gare du tramway

Les Tramways d'Eure-et-Loir (TEL) sont un ensemble de lignes de chemin de fer à voie métrique exploitées entre 1899 et 1937. Ce réseau d'intérêt local devait permettre le désenclavement de certaines localités à l'écart des lignes à voie normale des compagnies de l'Ouest et de l'ETAT. Il ambitionnait aussi de fournir un service urbain dans l'agglomération chartraine. Concédé au groupe Verney dans un premier temps, le réseau sera confié en 1929 à la Société Générale des Tramways Départementaux (SGTD) avant de disparaître en 1937. (Source Wikipédia)

 

La ligne de tramway Brou-Nogent-le-Rotrou est ouverte au public le 26/06/1908, et inaugurée le 28/06/1908.
A la création 15 stations sont prévues :
Brou-Etat
La Sablonnière (Dampierre-sous-Brou) – Arrêt facultatif
Dampierre-sous-Brou
Unverre
Moulhard
Luigny
Miermaigne
Beaumont-les-Autels
Grand-Aubert (Argenvilliers) – Arrêt facultatif
Vichères
Coutretôt - Arrêt facultatif
Trizay
Pasd’eau (Nogent-le-Rotrou) – Arrêt facultatif
Nogent-le-Rotrou (Ville) Actuelle rue Gustave Lebon
Nogent-le-Rotrou (Gare)
Il faut presque 2 heures pour faire le parcours Brou-Nogent.
La ligne fermera le 01/01/1934.

Source : CRGPG, Wikipedia, Société Archéologique d'Eure et Loir

Merci de replacer la cache telle que vous l'avez trouvée.
Restez discret et pensez à votre stylo !

Additional Hints (Decrypt)

Nrfphyhf uvccbpnfgnahz

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)