Skip to content

Jean Rostand Traditional Geocache

Hidden : 9/21/2016
Difficulty:
2.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:


                                                                                                   

Jean Rostand, né en 1894 et mort en 1977 est un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français.

Fils du dramaturge Edmond Rostand et de la poétesse Rosemonde Gérard. Enthousiasmé par ses lectures de l'entomologiste Jean-Henri Fabre, Jean Rostand s'intéresse davantage aux sciences qu'à la littérature. Licencié es sciences de la Faculté de Paris, Jean Rostand s'installe à Ville-d'Avray en 1922, à la mort de son père.

Après avoir participé à la création de la section de biologie au Palais de la Découverte, en 1936, il fonde à Ville-d'Avray son propre laboratoire indépendant et se tient à l'écart des structures universitaires qu'il juge trop contraignantes. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds…), la parthénogenèse, l'action du froid sur les œufs… et été le promoteur de multiples recherches sur l'hérédité.

Jean Rostand commence par publier quelques essais philosophiques puis partage son temps entre son métier de chercheur et une très abondante production scientifique et littéraire. Avec conviction et enthousiasme, il s'efforce de vulgariser la biologie auprès d'un large public et d'alerter l'opinion sur la gravité des problèmes humains qu'elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteur d'une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les hommes lorsqu'ils jouent aux apprentis sorciers.

Homme de science, biologiste, pamphlétaire, moraliste, Jean Rostand est aussi pacifiste (il milite contre l'armement atomique) et un libre penseur. Sans jamais faire preuve de sectarisme, il montre une très grande ouverture d'esprit et honnêteté intellectuelle.

Jean Rostand entre à l'Académie Française en 1959 et continue ses campagnes d'information lors de conférences, à la radio ou à la télévision.

Citation : “Tant qu’il y aura des dictatures, je n’aurai pas le cœur à critiquer une démocratie.”

Le lycée:                                                            

                                                                                                          Lycée Jean Rostand

Au Moyen Age, il y avait sur l'emplacement actuel des bâtiments du lycée Jean Rostand, le couvent Saint Nicolas aux Ondes, fondé vers  I220 et incorporé en 1245 à l’ordre des Dominicains.

 A l’origine, ce couvent s'appelait la "Chapelle de nos Chères Femmes Assises dans les Vertes Prairies". En effet, une chapelle consacrée  à Saint Mathieu et à Saint Nicolas jouxtait le couvent construit au milieux des prairies traversées dans les temps anciens par de nombreux  bras du Rhin.

 La dénomination latine, "in undis " fut déformée au 13° siècle par le langage populaire et devint : " zu den Hunden " : chez les chiens,  expression qui par la suite fut à nouveau traduite en latin et devint "ad canes", comme en témoignent les documents de l’époque. C'est  dans l’enceinte de ce couvent que furent installés les jardins et dépendances de l’Académie.

Au XIVème siècle, cette maison religieuse enclavée dans un milieu hostile et acquis au protestantisme, tint tête au Mouvement de la  Réforme. Toutefois, le couvent fut fermé en 1592 par les autorités strasbourgeoises et les religieuses furent expulsées. En 1595 le  monastère fut à moitié détruit.

 En 1666, le bâtiment restant fut transformé en hôpital militaire. Les nombreux blessés de la Guerre de Holtzheim y furent soignés. En 1681,  bâtiment servit de dépôt à munitions, et dans la même année, l’église fut démolie.

 Au XVIIIème siècle, ces lieux étaient occupés, d'après les plans Blondel de 1764, par les casernes St Nicolas, l’école d’équitation de la ville  et ce qui restait du couvent St Nicolas. Puis en 1781, selon Piton, les bâtiments servant de casernes furent complètement détruits.

Le Bâtiment principal de la Grande Caserne St Nicolas fut érigé entre 1780 et 1784. Il est flanqué d’un manège. Herrmann affirme dans ses "Notices sur Strasbourg", que pour cette construction, la participation de la ville aurait été de 428 600 francs. Celle-ci ayant eu l’autorisation de construire des casernes pour les troupes en garnison, s’empressa d’ériger des casernes en bois, qui plus tard furent reconstruites en dur. En 1794, le quartier Saint Nicolas fut baptisé : "Quartier des Enfants de la Patrie".

Au XIXème siècle, au bâtiment de la caserne, très long et très grand, furent ajoutées des deux côtés, deux immenses écuries fermées par des grilles comme le montre le plan de 1885. La caserne fut agrandie vers l’ouest en 1843. Puis en 1855, on rajouta des deux côtés une aile servant d’écurie. Les écuries érigées en 1818 seront détruites en mars 1971 pour permettre la construction des nouveaux bâtiments du Lycée Jean Rostand.

En 1945, les locaux de la rue de l’Académie sont mis à la disposition de l’Enseignement Technique pour l’Ecole Normale d’Enseignement Ménager.

L’Ecole fonctionne sous forme de centre d’apprentissage. Elle assure l’enseignement scolaire et post-scolaire. En 1950, ces locaux doivent également abriter l’Ecole Normale Professionnelle. L’établissement étouffe dans ses locaux exigus et en nombre insuffisant. Aussi, la même année, l’école se voit elle attribuer les locaux de la Caserne Baratier, l'ancienne Caserne Saint Nicolas. La partie "Est" est d’abord aménagée, puis à partir de 1956 débute la deuxième tranche des travaux qui a pour objet la partie "Ouest". Ce n’est qu’en 1963 que le lycée disposera de la totalité des bâtiments, après le départ du centre d’apprentissage pour garçons qui avait occupé une partie des locaux. 

La troisième tranche des travaux qui avait débuté en 1971 s'achève en 1972. Les nouveaux locaux purent être occupés dès la rentrée 1972. La réalisation de cette troisième tranche fut très mouvementée : les premiers arrêtés datant en effet de 1947, prévoyaient trois tranches de travaux. La structure pédagogique correspondant à la réalisation de la 3ème tranche fut approuvée par le Ministère de l’Education dès 1962. Cette structure pédagogique a subi de profondes modifications, ce qui explique la nécessité actuelle de réinstaller un certain nombre de locaux. Si ces projets ne purent être réalisés dès 1962, c’est parce qu’à l’époque le bâtiment abritait des garçons qui attendaient la fin de la construction de leur nouveau lycée.

Les pourparlers en vue de la construction des blocs C et D ont été repris à partir de 1966; mais toutes sortes de complications surgirent. Finalement, les plans de construction purent être réalisés : cependant, les travaux n’étaient pas achevés à la rentrée de septembre 1972 et les cours commencèrent tant bien que mal dans des locaux à moitié installés. L’aménagement de ces deux bâtiments s’est poursuivie, mais ne fut toutefois pas complètement achevée avant 1975. Un bloc de Physique Electronique est mis en service durant l’année scolaire 1974-1975.

Pendant que se poursuivait l’équipement des nouveaux bâtiments, l’ancien bâtiment subit de profondes modifications. Durant les vacances d’été 1974, la réfection des dortoirs du 4ème étage, et des locaux du secrétariat fut menée à bonne fin ; ainsi que la construction d’un 2ème "aquarium" ou bureau des surveillants au rez-de-chaussée, l’aménagement de deux appartements de service et celui de la salle de l’ordinateur à l’intendance. 

Durant les vacances d’été 1975, une grande partie de la toiture fut refaite, ainsi que le Laboratoire de Physique.

Entre 1987 et 1989, des modifications furent effectuées, d'après un projet de restructuration décidé en 1983.

Le nouveau Pôle Sciences a été terminé en 2008, et remplace les anciens bâtiments C et D. Un internat est construit en 2010.

L'emblème du lycée est bien évidemment la grenouille, si chère à Jean Rostand.

(source: Lycée Jean Rostand)

Attention aux très nombreux moldus!

Additional Hints (Decrypt)

Zntaégvdhr! Nggragvba nhk geèf abzoerhk zbyqhf, erfgrm qvfperg!

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)