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Histoire du XXème Siècle: La folie Beatles Mystery Cache

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SLAG62: Il faut parfois passer à autre chose (temporairement)

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Hidden : 8/12/2019
Difficulty:
4.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Ils étaient jeunes, fous de musique et Elvis était leur King. D'un petit groupe d'amateurs désinvoltes, les Beatles ont fait le groupe pop du siècle et la bande-son des Sixties, déclenchant une « Beatlemania » légendaire.

Quinze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, John, Paul, George et Ringo (moins de 75 ans à eux quatre) ont incarné un nouveau style de vie, de nouvelles espérances et un nouveau rythme musical, le Mersey Beat, du nom de la rivière traversant Liverpool.

Ils ont aussi introduit dans la pop de nouveaux sons empruntés tous azimuts : les cordes à la musique classique (Paul), la clarinette au jazz (John) et le sitar, alors inconnu en Europe à l'Inde (George).

Lorsqu'en juillet 1957, John Lennon (16 ans) et Paul McCartney (15 ans) se rencontrent à une fête d'école, rien ne permet d'imaginer qu'avec une guitare en mains et des bluettes aux lèvres, ils battront tous les records de l'industrie discographique, aux côtés de George Harrison et Ringo Starr.

Influencés par Elvis Presley et des groupes américains comme « Buddy Holly and The Crickets », ceux qui sont alors les « Quarrymen » (du nom de leur Quarry College) sont en quête de nouvelles sonorités, parcourant des kilomètres pour découvrir un nouvel accord de guitare.

Ne doutant de rien, ils peuvent rêver de tout et la chance est au rendez-vous en la personne d'Allan Williams, patron du Jacaranda, un pub de Liverpool où ils animent les repas.

S'adjoignent à eux George Harrison et le batteur Pete Best. Williams leur décroche un premier contrat à Hambourg, alors la Mecque européenne de la musique pop, dans des clubs miteux.

Après un premier single, comme accompagnateurs du chanteur Tony Sheridan, ils jouent dans divers pubs de Liverpool jusqu'au « Cavern Club », à partir du 9 février 1961, pour une livre chacun. Le 9 novembre, un jeune disquaire de la ville, Brian Epstein, les y découvre et décide de prendre sous son aile ceux dont il fera de « gentils garçons », en complet-veston.

Sept mois plus tard, il leur obtient un contrat avec Emi-Parlophone dont le patron, l'arrangeur George Martin, sera l'artisan de leur aventure musicale, après avoir remplacé Pete Best par Ringo Starr. Martin gardera une influence décisive sur toute leur carrière, au point d'être appelé « le cinquième Beatle ».

En mars 1963, la sortie de leur premier album « Please, please me » propulse les Beatles à la première place du box office britannique où, jusqu'en 1966, ils auront douze « No 1 » successifs. C'est le début de la gloire.

Décorés de l'ordre de l'Empire britannique par la Reine, les « Fab four » (« Les quatre fabuleux ») auront partout leur effigie, des chemises aux oreillers, et seront cotés en Bourse. Leur « Yellow submarine » inspirera même Maurice Chevalier qui enregistrera « Le sous-marin vert ».

Les jeunes s'arracheront tous les symboles du groupe, des perruques aux chaussures, et leurs concerts seront pris d'assaut.

A l'automne 1963, leur passage au show télévisé « Sunday night at the Palladium » déclenche chez les jeunes Britanniques une passion qui incitera l'Américain Ed Sullivan à les inviter dans son show, le plus célèbre d'Amérique.

Outre-atlantique, « I want to hold your hand » est déjà « No 1 », le premier d'une longue série, lorsque l'avion des quatre joyeux lurons atterrit à New York, accueilli par une foule de fans en délire. C'est la première fois qu'un groupe britannique trouve la gloire en Amérique.

Ce sont les mêmes scènes d'hystérie qu'en Angleterre, même lorsque les conditions des concerts sont difficiles comme à Washington où la scène, installée au centre comme un ring de boxe, les oblige après chaque chanson à pivoter sur 180 degrés avec tout leur matériel.

Au printemps 1965, « She loves you" et "Can't buy me love" sont leurs nouveaux « No 1 » aux Etats- Unis. Lorsque les Beatles y retournent pour une tournée estivale, 56.000 fans prennent d'assaut le Shea Stadium de New York. C'est la première fois qu'un groupe pop se produit dans un stade.

Après un énième et dernier concert inaudible en raison de l'hystérie des fans, le 29 août 1966 à San Francisco, ils décident d'abandonner la scène. C'est le début des « années studio », des influences psychédéliques et des chansons engagées de Lennon prônant une « révolution pacifique ». Mais la mort de Brian Epstein, le 27 août 1967, les déstabilise et la passion de John pour l'artiste japonaise anticonformiste Yoko Ono, les éloigne.

Le 30 janvier 1969, ils offrent à leurs fans un dernier concert, impromptu, sur le toit d'Apple, leur maison de disques londonienne. Le 10 avril 1970, Paul annonce leur divorce.

« Nous étions un très bon petit groupe. Rien de moins, rien de plus », dira-t-il.

Rétro Beatles


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sources:Ina.fr - afp - WatchMojo

 

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Ra pyvdhnag fhe yr obhgba eécbafr, ibhf nirm yn angher qr pr dhr ibhf qrirm ragere (zbg qr cnffr, pbqr...) Qba'g yrg zr qbja 2 zbgf

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)