Cette cache faite partie d’une série de geocaches mystères que nous avons nommée Mystères pour les Nuls. Cette série est destinée à ceux qui en ont marre de se creuser le crâne pendant des heures sur les énigmes ; mais les autres sont les bienvenus aussi !
Ces énigmes ne demandent pas de connaissances particulières, mais un peu de recherches.
Dans chaque cache, vous devrez relever un indice qui vous sera nécessaire pour découvrir la cache Bonus.
La série Mystères pour les Nuls:
#1 - MPLN -Arts
#2 - MPLN -Récréation
#3 - MPLN -Mathématiques
#4 - MPLN -Histoire
#5 - MPLN -Dictée
#6 - MPLN -Physique & Chimie
#7 - MPLN -Sciences de la Vie et de la Terre
#8 - MPLN -Education Physique & Sportive
#9 - MPLN -Musique
#10 - MPLN -Géographie
#11 - MPLN -Matières et Bonus
Les coordonnées ci-dessus ne sont pas celles de la cache.
- Dictée -
Ce texte comporte des fautes d’orthographe, de grammaire et de conjugaison. C’est à vous de retrouver les mots comportant la faute et de les corriger. Les 10 mots à corriger suivent l’ordre du texte (1er mot = A, 2ème mot = B, etc…). Ces derniers, une fois correctement écrits, vous dévoilerons les coordonnées après une petite « conversion »
Les coordonnées sont sous la forme :
N 48°CJ.BDG
E 01°IA.HEF
Voici le texte :
Façade cour d’honneur
Le château qu’Etienne de Poncher avait fait construire en 1543 à partir des ruine médiévales devait vraisemblablemant avoir la forme d’un quadrilatère et compter 4 grosses tours d’angle. La court était donc fermée de toutes parts et chemin de ronde, créneaux et mâchicoulis étaient présents. A la faim du XVIIème siècle, Charles-Denis de Bullion fait raser les deux ailes fermant la cour intérieure, ouvrant ainsi le corps de bâtiment restant sur le parc. Il fait supprimer les ornements de la Renaissance et apporte à l’ensembles architectural la rigueur du décor classique : sobriété des fenêtres hautes, régulières et sans ornementation.
Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, Marie-Charles-Gabriel-Sosthène de La Rochefoucauld, encore nommé Sosthène II, cédant au goût de l’époque, entreprend un immense travail de restoration avec l’aide des frères Henri et Clément Parent (1823-1884), disciples de Viollet-le-Duc. La structure et le gros œuvre gardes un peu la rudesse des anciennes demeurres féodales, mais d’élégantes sculptures sont ajoutées quart il est question de rétablir la décoration Renaissance d’autrefois : lucarnes, échauguettes, balcons ajourés de pierre, devises, scultures de toute nature.
