Château de la Citardière Traditional Geocache
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Difficulty:
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Terrain:
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Size: 
(small)
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Situé en lisière du massif forestier de Mervent-Vouvant, près du hameau des Ouillères sur la commune de Mervent, le château de la Citardière est une imposante demeure entourée de douves profondes dont certaines portions d'histoire ne sont pas parvenues jusqu'à nous, et que les rumeurs associent à un sombre brigand du pays, le baron de Chantoizeau, présenté comme le Barbe Bleue local.
Si le nom de la Citardière est mentionné dès le XIVe siècle, il ne s'agit alors que d'une simples métairie bas-poitevine. Le château est construit à partir du milieu du XVe siècle par la famille de Frondebœuf, qui conserve le domaine jusqu'en 1549.
La Citardière apparaît ensuite dans les écrits d'Agrippa d'Aubigné, chroniqueur d'Henri IV puis gouverneur de Maillezais, qui relate l'attaque de la "Cointardière" (son autre nom) lors des guerres de religion en 1588 par le Duc de la Trémoille.
Au début du XVIIe siècle la Citardière est la propriété de Jean Pager, membre éminent de la bourgeoisie fontenaisienne, pui à son gendre Jacques de Morienne qui remanit le château et agrandit le domaine jusqu'à sa mort en 1673.
Plusieurs propriétaires se succèdent ensuite jusqu'à la Révolution, période trouble qui affecte peu la Citardière, après quoi le château est abondonné et se dégrade lentement, jusqu'à son acquisition par Gérard et Nadine Coutant en 1983. Ces derniers entreprennent un travail considérable pour redonner vie aux lieux, en cela récompensé par l'inscription à l'inventaire supplémentaires des monuments historiques le 23 décembre 1987, puis à son classement au titre de monument historique le 29 décembre 1989.
En franchissant le pont de pierre, construit en lieu et place de l'ancien pont-levis, on fait face à un grand corps de logis parcouru par un chemin de ronde pratiqué dans l'épesseur des murs, avec des gargouilles en forme de canons, et dominé par un pavillon central dont la large porte cintrée de forme Renaissance permet l'accès à l'ancienne demeure seigneuriale.
Les pavillons d'angles, symétriques, comprennent deux étages accessibles par des escaliers à vis. Au second étage, le plafond est couvert d'une coupole en pierres de taille donnant à la salle des propriétés acoustiques étonnantes : il s'agit d'une chambre à échos qui faisait autrefois office de confessionnal pour lépreux.
L'édifice se termine par deux ailes en retour d'équerre, de part et d'autre d'une immense cour. L'aile de droite abrite une salle voûtée en anse de panier longue de 25 mètres, qui accueillait encore il y a peu une crêperie renommée dans la région. Celle-ci a malheureusement fermée ses portes pour cause d'absence de repreneurs suite au départ en retraite des propriétaires...
IMPORTANT :
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Additional Hints
(Decrypt)
Nvznagé (ibve fcbvyre)