Le bourg fut fortifié en 1545, sur autorisation de François Ier, donnée à Jacques II Turpin de Crissé. Ce Jacques II luttait alors contre le banditisme lié aux bandes de mercenaires qui avaient été engagés pour le temps d’une campagne, dans la guerre de Cent Ans, puis libérés, mais peu désireux de rentrer chez eux.
Le bourg fut alors renfermé avec quatre portes : de la Motte à l’Ouest, de Saint Epain à l’Est, Bigot au Nord et du Puits Auger au Sud. Seuls des vestiges des deux dernières sont encore visibles, dont celle-ci, la Porte Bigot.