ACR : A QUOI SERVENT LES INSUFFLATIONS
Lorsque la circulation du sang s'arrête, les organes, dont le cerveau et le cœur lui-même, ne sont plus alimentés en oxygène et commencent à mourir: des lésions cérébrales apparaissent dès la troisième minute, et les chances de survie deviennent quasiment nulles après huit minutes d'arrêt circulatoire. Le fait d'oxygéner artificiellement le sang et de le faire circuler permet d'éviter ou de ralentir cette dégradation, et donc d'accroître les chances de survie.
L'air, ou le dioxygène médical, doit arriver jusqu'aux poumons, il faut donc assurer la perméabilité des voies aériennes. Par ailleurs, le dispositif d'administration doit être étanche.
La plupart des méthodes sont dites à « pression positive » : on fait monter la pression du gaz au niveau de l'entrée (bouche ou nez), il fait donc gonfler les poumons. Cette surpression modérée se fait soit par l'expulsion d'air par la bouche du sauveteur (méthodes manuelles), soit par la pression manuelle sur un ballon auto-gonflant (méthodes avec matériel), soit par un système de pompe mécanique (respirateur automatique). On parle d'« insufflation ».
La cache ne se trouve pas aux coordonées du listing mais aux :
N 48°14.ABC
E 02°46.DEF
ABC est la masse molaire (avant la virgule) de ce fameux bi-atome multiplié par 27 plus 14
DEF est la valeur de celui de sa matière moins celui de son danger si il est liquifié divisé par 2 plus 46
