This cache has been archived.

miguaine: Bonjour nene98,

Cache archivée pour permettre éventuellement à un autre géocacheur d'en placer une dans le secteur.

Cordialement,
Miguaine - "Geocaching HQ Volunteer Reviewer"

GC8Q3A9 ▼

A cache by nene98, Pilou30 Message this owner

Hidden : 3/23/2020

Difficulty:

Terrain:

Size: Size: small (small)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:

Avant d'être une fleur blanche, voir la vache du prisonnier, Marguerittes est tout d'abord un grand village. D'une commune moyenne au début du siècle, Marguerittes s'est agrandie de manière exponientielle au fil des années pour devenir le patelin la plus habité de la banlieue Nîmoise. Les plus anciens indices d'occupation humaine à Marguerittes remontent à la préhistoire. La plaine marguerittoise était alors une réserve de chasse, de cueillette et de pêche en raison de la présence de marécages, de sources et de rivières. A l'époque romaine, la plaine et une partie de la garrigue de Marguerittes ont été le grenier de la ville de Nîmes. Ce qui explique la présence de nombreuses «villae» dispersées sur son territoire. Ainsi, Marguerittes, petit village fortifié avec un château, des remparts et plusieurs maisons, était entourée dans la plaine de hameaux très peuplés comme Agarme, Couloures, saint Gilles, Quart, Luc, Costabalen. Quelques auteurs affirment que Marguerittes fut d'abord une villa désignée par le nom de «Virgelosa» qui signifie «lieu planté d'Osier». Elle aurait été créée à l'emplacement de la mairie actuelle. Marius Aurelus Fuivius, ancien consul de Rome et grand-père de l'Empereur Antonin, construisit la villa parmi celles d'autres notables. Comme elle était la plus somptueuse, le vocable «Virgelosa» fut progressivement remplacé par celui de «Margarita» (la perle) L'origine de Margarita est probablement liée à l'acqueduc romain qui amène les eaux de la fontaine d'Eure (Uzès ) jusqu'à Nîmes par le célèbre Pont du Gard et qui traverse le territoire de Marguerittes au pied des collines. Mais, d'après les archives, il existe un autre acqueduc romain appelé «Rétrograde» qui ramenait une partie des eaux reçues par Nîmes, le surplus des termes publics et autres fontaines de Nemausus, pour alimenter une villa gallo-romaine. Cette ville, détruite par les envahisseurs, fut remplacée par le château, berceau de seigneurs jusqu'à la Révolution française. Au travers des siècles, le lieu garda son nom prestigieux. Ainsi, naquit la cité de Marguerittes, qui changea plusieurs fois d'orthographe avant de prendre le nom que nous lui connaissons. Au travers des siècles, le lieu garda son nom prestigieux. Ainsi, naquit la cité de Marguerittes, qui changea plusieurs fois d'orthographe avant de prendre le nom que nous lui connaissons. Au travers des siècles, le lieu garda son nom prestigieux. Ainsi, naquit la cité de Marguerittes, qui changea plusieurs fois d'orthographe avant de prendre le nom que nous lui connaissons.

Nouvel emplacement, je veille sur ma fontaine, cette cache a été recrée car l'autre était trop dangeureuse d'accès, elle devient également accessible à tous.

(MERCI DE NE PAS DETRUITRE LA FONTAINE CAR ELLE NE S'Y TROUVE PAS DEDANS),

Texte récupéré sur l'ancienne cache de pilou30, merci à elle. Ansi que du club cham30

Le chemin des sources. L'aménagement de la fontaine de CAMAU est mentionné pour la première fois dans le compoix de 1644. Au XVIeme siecle, elle devient lavoir avant d'être abandonnée pour cause d'insécurité, les villageois préférant se réfugier dans Marguerittes fortifiée. En 1834 le lavoir retrouvait son utilisation et portait inscription Marguerittes 1834 encore visible sur l'une des margelles. Puis ce lavoir public fut complété en 1849 par une toiture supporté par huit piliers pour mettre les lessiveuses à l'abri de la pluie et de l'ardeur du soleil. Ce lavoir est resté en service jusqu'en 1878, date à laquelle on inaugura celui des arènes actuelles. Cette fontaine - lavoir, complètement abandonnée et,

LA FONTAINE DE CAMAU

Le parc éco-urbain de Praden à Marguerittes a été inauguré en octobre 2012.

Les espaces naturels de Praden ont été aménagés en un lieu à vivre pour y flaner, y jouer, pour y approcher proches et amis.

C'est un poumon vert, un jardin à rêver conçu pour tous les âges avec promenade, espaces de repos, passerelles ludiques sur le cours d'eau, jeu de boules, aire de roller, théâtre de verdure.

C'est l'équipement ludique de la ville qui se complète: la Combe des Bourguignons au Nord avec ses 30 ha, la plaine des Heuls à l'Est avec ses 4 ha, la Plaine de Peyrouse à l'Ouest avec ses 4 ha et aujourd'hui Praden et son parc.

Sur le parc chacun peut apprécier les constructions en bois et les aménagements ludiques. C'est aussi le centre aéré tout proche qui profitera du lieu et le monde sportif puisque à proximité, le club de sport de combat et le monde footballistique marguerittois tiennent leurs activités.

Le ruisseau de Bastardet ou Barradet nait de la source de l'Agarne et de la Fontaine de Camau, proche du mas Praden à l'ouest de Marguerittes.
La source de l'Agarne se trouve entre le supermarché et le mas de Praden. Mentionné dans les compoix de 1644 et de 1754 et indiqué dans le cadastre napoléonien, cette source, jusqu'au mois de février 1994 OU 1997, était entièrement recouverte de terre, de pierres et de ronces et risquait à jamais de disparaître. Les travaux de terrassement de la zone artisanale en 1995 ont fait non seulement renaître la source du fait de nombreuses pluies mais aussi ont mis au jour à coté de la source un bassin-lavoir dallé datant probablement du XVIIIème ou XIXème siècle et deux murs en angle droit bâtis en petit appareil de moellons calcaires bien assisés (villa ou bassin romain?).