Bienvenue sur la série CHLORE 34 !
Contes,
Histoires et
Légendes
Occitans et de la
RÉgion de l'Hérault
Aujourd'hui je vous propose une série en toute simplicité, adaptée aux débutants, aux familles et à tous ceux qui ont un cœur d'enfant. Au terme d'une balade le long de la fraîche Buèges d'environ 8km à 10km (selon si vous visitez le village de St Jean...oui ? :) qui vous prendra au moins une demi-journée, vous trouverez 24 caches avec une histoire liée en description et des camouflages ou caches spéciales sur le terrain. Le dénivelé reste très faible et une petite montée au départ servira d'échauffement. Vous pouvez autant partir de Saint-André (Pont de Vareilles) que de Saint-Jean. C'est une série à faire à pieds, et quasiment* tout est faisable en VTT. De l'eau, de bonnes chaussures et un pique-nique seront toujours une bonne idée. Bonne découverte de cet univers !
*Cela dit en VTT je déconseille la cache 15, où le portage est dangereux et difficile (dalle rocheuse glissante vers rivière). Vous pourrez venir à la cache 14, puis rebrousser chemin jusqu'au gué (Ne passez pas si c'est en crue ! Autrement, roulez sur le gué, ou enlevez chaussures et chaussettes :) situé entre les caches 11 et 16, et enfin arriver à la 15 à contre-sens.
La Légende de la Tour des Pins...ou la fin prédite de Montpellier
Nostradamus, tout droit venu de sa Provence natale, s’installa à Montpellier pour y suivre ses études de médecine, la ville étant à cette époque l’une des principales facultés de médecine, si ce n’est la principale. Là, haute de ses 25 mètres, parmi la vingtaine de tours qui composaient l’enceinte fortifiée de la ville, l’une des tours attira son attention. Son originalité ? Deux pins qui poussaient à son sommet. Elle allait devenir le sujet de l'une de ses prédictions. Dans l’un de ces fameux quatrains, Nostradamus prédit que :
« Lorsque les pins disparaîtront, la cité périra ! »
Stupeur sur la ville, quand l’un des deux tomba en 1828 ! Vite remplacé, le calme revint. Mais depuis, la municipalité veille et entretient soigneusement les arbres… jusqu’à les remplacer, comme la dernière fois, en 1960.