Jean-Louis Millette aura imposé
sa marque sur la culture québécoise grâce à la télévision -
La Ribouldingue, Symphorien, L'Héritage, Bouscotte -,
mais aussi, à une plus petite échelle, mais peut-être
avec plus de force encore, au théâtre, où il a joué "plus
d'une centaine de pièces", consacrant la fin de cette
trop courte carrière à des paris souvent risqués de
jeunes auteurs ou metteurs en scène - qu'on songe à
"Décadences", de Stefen Berkoff, en 1997 au
Quat'Sous.
Il avait aussi connu une certaine
carrière au cinéma, jouant souvent les personnages louches,
perturbés ou démoniaques, notamment dans "Pouvoir intime",
"Les Fous de bassan" et "Dans le ventre du dragon", d'Yves
Simoneau, "Le Confessionnal", de Robert Lepage, ou "Jésus de
Montréal", de Denys Arcand. (source :
www.fse.uqam.ca
)
CONTENU ORIGINAL
- Logbook / crayon / aiguisoir
- Porte-clé boule de billard
- Souris
- Colle brillante
- Gratteux pour le PAT
Bonne chance !