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L' GRAND VILLAR Traditional Cache

This cache has been archived.

Mpoup: Le jardin est en train d'être refait de fond en combles... Je préfère archiver.

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Hidden : 5/6/2011
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

L’GRAND VILLARD


L’Grand Villar c’est le nom que portait le Villard Saint Pancrace sous la Révolution et que l’on entend encore souvent aujourd’hui. Je vous propose ici un petit échauffement, assez simple, dans le parc entre l’Eglise et la Chapelle des Pénitents, avant d’enchaîner sur les caches des environs.




Voici ce que nous apprend le site communal au sujet de l’Eglise :

« En 1542, l’église de Villard Saint Pancrace fut construite dans le style roman sous la direction de l’architecte Ristolani, dont le nom figure sur le pilier gauche du portail. A noter que les habitants de Villard Saint Pancrace participèrent à sa construction, notamment en allant tailler des pierres dans la carrière de Rocher Blanc avant de les redescendre en "ramasse" (sorte de grosses luges bien connues des charbonniers) jusqu’au chantier. Le modèle initial de notre église est sans doute la cathédrale d’Embrun et plusieurs éléments nous le rappellent : le réal, les travées de plan carré, le chevet de plan carré, le portail jumeau sur le goutterot sud, les arcatures lombardes.
Le clocher en revanche est complètement atypique et il est fort probable qu’il n’est jamais été achevé soit pour des raisons financières, soit parce que déjà l’édifice présentait des problèmes de stabilité. Quoiqu’il en soit sa forme de guérite servait autrefois de poste de garde pour un guetteur qui surveillait la nuit d’éventuels début d’incendie. Dès l’abord, on remarque le très beau cadran et son inscription « toutes blessent… la dernière tue ».

Trois portails : un sur le mur du fond, deux sur le mur latéral sud. Pour l’anecdote, le double portail est une des caractéristiques des plus sujettes à interprétation – on dit que ce fut un rituel lors des inhumations – Le cercueil était passé par une porte et après l’office ressortait par l’autre qui symbolisait l’entrée au paradis. C’est une interprétation fort sympathique, et de tout repos,mais qui n’a aucun fondement.

Au cours de la seconde guerre mondiale, à la libération en 1944, à la suite d’un bombardement, le feu prit à la pointe du clocher, dont la flèche fut brûlée entièrement, ainsi que la charpente et la couverture de l’église, les deux cloches de bronze fondirent.
En 1962, les Beaux Arts font reconstruire le clocher en bois de mélèze tel qu’il était à l’origine, clocher et couverture sont recouverts en ardoise.
En 1964, la municipalité fait placer deux cloches, l’une baptisée Cordier et l’autre Barberoux et une horloge.
De 1965 et 1971, les Beaux Arts exécutent les gros travaux : charpente, façades, planchers, malheureusement les dommages de guerre étant épuisés, on arrête les travaux.
Il restait donc à faire la remise en état de l’intérieur, ceci fut l’œuvre avec l’approbation des Beaux Arts, d’une équipe de paroissiens, curé en tête. A noter que l’autel principal, fabriqué par une entreprise du Villard est recouvert d’un drap brodé d’or… » (Jean-Paul Fine)




NB : munissez vous d’un crayon.



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