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Bords de Loire-Place Mangin Traditional Cache

This cache has been archived.

Vandergore: Bonjour,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache définitivement.
voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance.

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver. Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,
Vandergore - Groundspeak Volunteer Reviewer.

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Hidden : 8/6/2012
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:

Petite balade sur les bords de Loire à proximité de la Place Mangin.

Louis Victor Aimé François Mangin naît le 2 octobre 1752 à Paris. Il est le fils de Charles Mangin (1721-1807), architecte (tours de l'église Saint-Sulpice...), et de Jeanne Françoise Guilbeaud. Après des études secondaires classiques, il devient employé de commerce
Après son arrivée à Nantes, il épouse d'abord Elisabeth Bouglé, puis, veuf, se remarie le 17 avril 1806 avec Marie Marguerite Lezac, 46 ans, commerçante.

La "petite poste" de Nantes (1777)

Le 3 octobre 1777, son père, qui est aussi un homme d'affaires, obtient un privilège pour créer le service de la "petite poste" à Nantes, c'est-à-dire la distribution du courrier à domicile4. Il confie la gestion de l'entreprise à Louis Victor qui s'installe à Nantes.
L'entreprise est d'abord localisée quai de la Poterne (actuellement allée Flesselles) puis rue Dauphine (rue Jean-Jacques Rousseau). Elle emploie un contrôleur et 9 préposés, 6 pour la ville et les faubourgs, 3 pour la campagne. Louis Victor Mangin se lance dans d'autres entreprises : une "poste maritime", avec les colonies ; un almanach, le Calendrier du Commerce.

La Correspondance maritime (1782) et ses avatars

En 1782, il reçoit une permission pour un périodique d'abord bimestriel, La Correspondance maritime, consacré aux informations commerciales pour Nantes et Bordeaux (cours des biens coloniaux...), mais où peuvent être publiés des articles sur des sujets connexes : comment lutter contre le scorbut, etc. En revanche, il n'est pas autorisé à écrire sur la politique, compte tenu du privilège de quelques journaux parisiens, ni à publier des petites annonces, réservées au journal Les Affiches de Nantes, créé en 1757 par Joseph-Mathurin Vatar.
En 1785, La Correspondance maritime devient La Feuille maritime ; la publication se poursuit durant les premières années de la Révolution, y compris pendant la Terreur, compte tenu de son caractère non politique. Louis Victor Mangin exprime cependant clairement son soulagement après la condamnation à mort de Carrier en décembre 1794. Durant l'année 1794, Victor Mangin mène même à bien une opération sur son principal concurrent, Les Affiches de Nantes. L'organe résultant de cette fusion est appelé La Feuille de Nantes.

L'imprimerie Mangin (1804)

En 1804, il crée son propre atelier d'imprimerie tout en poursuivant l'édition de La Feuille nantaise.
Relations avec le Journal de Nantes (famille Malassis-Mellinet)
Lors de la Restauration, des pourparlers ont lieu avec Rosalie-Anne Malassis, épouse Mellinet, qui dirige le Journal de Nantes, en difficultés financières. Mais les autorités (préfet, Ministres de l'Intérieur) ne veulent pas que Victor Mangin prenne le contrôle d'une organe qui leur est nettement favorable et imposent un partage des domaines d'information. Par exemple, la Feuille ne peut pas publier d'articles politiques, mais peut en reproduire (revue de presse appelée "Précis") tandis que Journal n'a pas le droit aux annonces commerciales.
C'est aussi à cette époque que Louis Victor Mangin associe son fils à la gestion de l'entreprise.

L'Ami de la Charte (1819)

En 1819, le gouvernement établit un régime de presse un peu plus libéral.
Le 4 août 1819, paraît le premier numéro de L'Ami de la Charte, journal paraissant d'abord tous les deux jours sur 4 pages, qui ne remplace pas La Feuille nantaise dont la publication se poursuit. C'est un vrai journal, pouvant parler de tout sans censure préalable (en contrepartie, le Journal de Nantes est libéré de ses obligations de 1815), dans une optique libérale, c'est-à-dire à l'époque favorable à Louis XVIII et opposé aux ultras. Il connaît le succès commercial ainsi que des réactions hostiles, telles que le barbouillage de ses affiches d'annonce où le mot "Charte" est remplacé par un autre mot.
Par la suite, Victor Mangin laisse la direction de L'Ami de la Charte à son fils, tandis qu'il s'occupe de La Feuille ; il se consacre aussi à des travaux littéraires, traductions du latin ou œuvres personnelles. Il fait partie de la Société académique de Nantes.

Il meurt le 23 septembre 1825 à Nantes. Depuis, la place située au nord du pont de Pirmil a été baptisée en sa mémoire, et celle de son petit-fils Victor, le 26 aout 1886

Additional Hints (Decrypt)

Fbhf har cvreer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)