GC40GRT Cathédrale de Tarbes (Traditional Cache) in Occitanie, France created by EloChris1

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Vandergore: Bonjour,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache définitivement.

voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver.

Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,

Vandergore / Geocaching HQ - Volunteer Reviewer

GC40GRT ▼

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Hidden : 10/31/2012

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Geocache Description:

- BYOP -
Une cache pour découvrir ce monument peu connu de la ville de Tarbes, et qui ressemble finalement peu à une cathédrale...

A cache to discover this discreet monument of the town of Tarbes, and which doesn't look quite like a cathedral actually...

La Cathédrale de Tarbes / Tarbes Cathedral

Présentation

La Cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède de Tarbes est une cathédrale de culte catholique, siège de l'évêque de Tarbes-et-Lourdes. Elle est classée au titre des monuments historiques. Le mot sède provient du latin qui signifie siège : le vitrail central du chœur représente la vierge Marie assise qui présente sur ses genoux l'enfant Jésus. Ses influences architecturales sont à la fois romane, gothique, baroque et occitane. Elle renferme une chapelle dédiée à la Sainte-Vierge, un retable doré situé dans l'absidiole sud de la nef, ainsi qu'un baldaquin en marbre surmontant l'autel majeur.

Histoire et architecture

L'aspect de l'édifice, doté du caractère robuste des constructions de montagne, n'est pas forcément conforme à la pensée de ses concepteurs originaux ni à celle que l'on peut se faire d'une cathédrale. Cela s'explique par son histoire faite d'agrandissements successifs, de restaurations, et de corrections architecturales, à chaque fois en accord avec leurs temps, qui donnent au final à l'édifice son apparence rustique et composite.

Si les documents font mention au VIè s. d'un évêque de Tarbes, la construction du chevet de la cathédrale n'est attestée qu'au XIIè s. La nef de l'église originelle romane ne possède que deux travées sans bas-côtés. Elle ne présente sans doute primitivement qu'une abside sans absidioles, comme en témoignent les contreforts romans qui émergent aujourd'hui au-dessus des absidioles, au nord comme au sud. C'est dans la seconde moitié du XIIè s. que l'on ajoute les absidioles, extrêmement petites et accolées contre l'abside, s'ouvrant sur le transept par un arc brisé. On remplace alors probablement l'ancien arc en plein cintre de l'abside principale par un arc triomphal brisé, pour le mettre en harmonie avec les nouveaux concepts d'architecture gothique naissants. Ces premières étapes de construction sont repérables aux changements de matériaux et d'appareils :
- pierre et brique alternées en damier ou en bandes horizontales pour le premier chevet ;
- appareil de briques et galets à alternance lâche pour la partie médiane du transept et la moitié inférieure de la nef ;
- puis à alternance serrée pour les parties hautes de l'édifice.

Au XIIIè s. est édifiée la tour-lanterne qui domine le transept. Il s'agit d'un clocher octogonal en briques, typique de l'architecture régionale, à la croisée au-dessus d'une voûte d'ogives à huit quartiers rayonnants. Au XIVè s. on adjoint la nef gothique. Au cours des siècles suivants, les murs sont surélevés (parfois inégalement), la nef est allongée, et les intérieurs sont embellis, mais la cathédrale est saccagée et incendiée par les huguenots.

De grands travaux de restauration au XVIIIè s. donnent à l'édifice sa travée extérieure en grès à l'ouest, et surtout à l'intérieur son grand baldaquin baroque en marbre au-dessus de l'autel majeur. À la fin du XIXè s., de grands projets visent à donner à la cathédrale une image plus digne de la première église du diocèse. En effet, exigüe, sans véritable clocher, manquant de dépendances, esclave de son environnement entièrement bâti, elle est confondue dans la masse urbaine. Mais de profonds désaccords entre l'évêque et le préfet, qui souhaite étendre sa préfecture voisine au point par exemple de faire construire des écuries à moins de 3,50 m du mur sud de la cathédrale, font avorter ces projets.

Aujourd'hui

Depuis le 30 octobre 1906, la Cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède est classée au titre des monuments historiques. On se contente alors de simples restaurations, mais les difficultés budgétaires et techniques entravent ces travaux, les rendant parfois incomplets et nécessitant des corrections. Aujourd'hui la cathédrale est reconnue pour ce qu'elle est, et à défaut de l'embellir, on vise à la conserver et à rendre à l'édifice son aspect "primitif".

Introduction

Tarbes Cathedral Notre-Dame-de-la-Sède is a Roman Catholic cathedral, seat of the bishop of Tarbes-et-Lourdes. It is a national monument of France. The word sède comes from Latin, meaning seat: the Virgin can be seen in a seated position on the central stained glass window, presenting the child Jesus on her knees. The architectural influences of the church are Romanesque, Gothic, Baroque, and Occitan. It encloses a chapel dedicated to the Blessed-Virgin, a golden altarpiece in the southern apsidal chapel, and a marble canopy above the major altar.

History and architecture

The general aspect of the edifice, albeit endowed with the typical sturdy character of mountain buildings, probably does not comply with the original idea of its creators, nor that you can have about an actual cathedral. This is explained by its history full of successive extensions, restorations, and architectural corrections, each time in agreement with their own period of time, but which give the structure its final rustic and heterogeneous appearance.

While some 6th-century documents mention a certain bishop of Tarbes, the actual building of a cathedral is testified only in the 12th century. The original Romanesque naive comes with just two bays without aisles. At first there is probably a single apse and no apsidal chapel, as can be noticed from the Romanesque buttress that today emerges from above the apsidal chapels, on both northern and southern sides. During the second half of the 12th century, apsidal chapels are added. They are very small, attached to the apse, and open toward the transept with ribbed arches. At that time, the old Romanesque arch of the main apse is likely replaced by a glorious Gothic arch as well, in order to make it consistent with new emerging architectural ideals. All these initial construction steps are noticeable in the different materials and masonry:
- square pattern or horizontal lines of alternating stones and bricks for the first chevet;
- brick and pebble masonry with loose alternation for the transept's middle part and the naive's lower half;
- then a tighter alternation for higher parts of the building.

In the 13th century, the lantern tower is erected above the transept. It is an octagonal brick bell-tower, proper to regional architectural standards, with eight radiating quarters above a vault with intersecting ribs. The Gothic naive is built the 14th century. During next centuries, the height of the walls get raised (sometimes unevenly) , the naive gets stretched, and the interiors get ornamented, but the cathedral is eventually devastated and torched by Huguenots.

Important restoration works in the 18th century grant the edifice its external sandstone bay on the western front, as well as its large marble Baroque canopy above the major altar. In the late 19th century, ambitious projects aim at giving the cathedral a worthier image of first church of the diocese. Indeed, being cramped, without any steeple, lacking outbuildings, like a slave to its extensively built surroundings, it merges too much with the urban mass. However, deep disagreements between the bishop and the prefect, who wishes to extend his neighbouring prefecture so much that he will have stables build as close as 3.5m away from the southern wall of the cathedral, lead these projects to abortion.

Today

On October 30th, 1906, the Cathedral Notre-Dame-de-la-Sède was classified as a national monument of France. Further work on the building have stuck to restoration from then on, but financial and technical difficulties hindered the task now and then, making it sometimes incomplete or needing correction. Today the cathedral is eventually acknowledged for what it is, and even if not being adorned, the edifice is well preserved and strived to be returned to its "primitive" aspect.

Additional Hints (Decrypt)

« yn ibvr iranag qrf Pvrhk » / « gur jnl sebz Urniraf »

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)

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