Skip to content

L'espoir... Traditional Geocache

Hidden : 11/12/2013
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:

L'espoir, une oeuvre de Jean BAFFIER

TOUS LES DETAILS SUIVANT DANS LA DESCRIPTION SONT IMPORTANTS POUR LA QUÊTE....LISEZ JUSQU'AU BOUT....


Jean BAFFIER , est né à Neuvy le Barrois dans le Nivernais le 18/11/1851 et mort à Paris le 19/04/1920.

Homme du peuple et tailleur de pierre travaillant quelque temps pour un dénommé Rodin à Paris, sculpteur et fervent régionaliste, il s'intéressa à la musique traditionnelle et aux contes populaires du Berry. Il fonda en 1886 Le Réveil de la Gaule, revue qui dura jusqu'en 1912. Il est également l'auteur d'un recueil de récits berrichons.

La statue de l’espoir plus connue sous le nom de « l’homme taureau »

Il a fondu l’airain de sa charrue pour en faire un glaive…

La statue a été élevée à la mémoire du 19ème régiment de mobiles du Cher qui a combattu les prussiens à Juranville.

Voir l'historique de la bataille de Juranville documenté à l'adresse suivante : http://www.ccbeaunois45.com/files/Beaune-la-Rolande/Histoire/Bataille%20de%20Beaune-la-Rolande%2028%20novembre%201870.pdf

Elle a été  inaugurée le 2 juin 1907.

Faire attention en repositionnant la cache, il y va de sa vie...pas de crayon dans la cache

.

Complément d'information concernant le monument : 1892 : projet de commémoration des soldats du 19e régiment du Cher morts durant la bataille de Juranville (vers Montargis) 1896 : organisation d’une souscription ; Baffier est chargé du projet ; premier projet avec un socle différent : il figurait un édicule auquel on accédait par plusieurs marches ; aux angles se trouvaient quatre canons sur la bouche desquels étaient posés des casques, évoquant différentes périodes militaires (les canons : bataille de Marignan en 1515, bataille de Rocroi en 1643, bataille de Valmy en 1792, Austerlitz en 1805 ; les casques étaient ceux de Vercingétorix, Godefroy de Bouillon, Jeanne d’Arc et des soldats de la 1ère République). Une jeune fille personnifiant l’Espoir gravissait les marches et suspendait une couronne à un panneau simulant la porte d’un tombeau. 1896 : projet d’érection d’un monument en souvenir des mobiles du 19ème Régiment de marche du Cher et de leur bravoure lors de la bataille de Juranville. 1905 : inauguration le 2 juin. Il existe une carte postale portant de la main de Baffier : ‘Va mon géant de l’ours, va mon Gargantua dire au beau critique d’art Lemoine que j’ai fait la véritable image de la victoire (sic) des années Gallo-française 1870-71 1914-18 Jean Baffier Et il n’est pas d’Egypte, ni d’Assyrie celui-là. Il est de la Gaule XIXe siècle après Jésus Christ. On verra bien, un jour ou l’autre que j’avais raison. Hélas ! ce sera trop tard !’

Il convient d'ajouter cette note de Roland NARBOUX, historien berruyer, qui relate fort bien les tenants et aboutissants de ce fait d'armes et de tout ce qui est en relation directe.

La guerre de 1870 fut courte, elle est déclarée à la suite de la dépêche d'Ems, le 19 juillet 1870. Un mois et demi plus tard, Sedan capitule (1 er septembre) et le 4 septembre, le peuple proclame la République au Palais Bourbon. Un gouvernement de la Défense nationale est constitué.
Le 18 septembre, les prussiens arrivent devant Paris et en octobre c'est la reddition de Metz. Le second Empire de Napoléon 3 est balayé, et c'est la naissance de l'empire Allemand, Guillaume 1 er étant proclamé empereur de ce pays à ... Versailles le 18 janvier 1971. La guerre de 1870 à Bourges Il y avait à Bourges un régiment important, le 19° Régiment des Mobiles du Cher (V° région). Un décret du 17 juillet 1870 appela les recrues sous les armes. Il y eut quelques problèmes d'hébergement. Le commandant Choulot reprit du service, il était en retraite et devint Lieutenant colonel. L'uniforme des Mobiles, c'était une blouse de toile bleue à parement et collets rouges, une cravate de toile bleue et un pantalon de toile gris à bandes rouges.. Les chaussures étaient.... des sabots. Ils possédaient un fusil à percussion rayé avec baillonnettes... dépourvu de bretelles. Le 19 ° Mobile comprenait 3 bataillons (Bourges, Saint-Amand - Sancerre) de 3 compagnies de 300 hommes. Celui de Bourges comprenait 1900 hommes. Le 22 septembre, le bataillon quitta pour pour aller, comme Jeanne d'Arc, délivrer Orléans. Il prit pour cela le train ( gare aux Prés le Roy) Ce fut l'hiver 1870, très froid avec beaucoup de neige. Les prussiens descendaient de Paris, et les escarmouches puis de vraies batailles se déroulèrent. Bataille de Beaune la Rolande, , Cotelle et surtout Juranville. C'est cette dernière bataille qui demeure la plus célèbre, car le commandant Martin fut tué. C'est ici la clé de la découverte de la cache. cherchez sous sa représentation, à sa gauche. Il faisait froid, l'armée dite de La Loire recule tout comme le 19° Mobile... et il arrive ainsi à Fussy. Dans cette retraite rien n'était prévu pour les soldats.? Le 19° repart alors en direction de La Charité afin de rejoindre l'armée dite de l'Est. Elle était commandée par Bourbaki. Le régiment qui était cantonné à Fussy , puis à Asnières les Bourges fut inspecté le 17 décembre 1870 par Gambetta en personne. La guerre à l'Est fait rage et dans le froid, c'est l'hécatombe, sur 5000 hommes, le colonel de Choulot estime que son régiment n'en a plus que 400. L'armistice puis la signature de la paix à Versailles le 26 février 1871 termine cette guerre de 1970. La vie à Bourges C'est dans l'été 1870 que les premiers blessés de la campagne de l'Est arrivent à Bourges, ils furent installés au Grand Séminaire et à l'Archevêché. A ce moment la ville qui était déjà une cité militaire reçut de nombreux régiments de toute sorte. On retiendra que les soldats, mal encadrés, désoeuvrés s'enivrèrent et se livrèrent à de nombreux actes de vandalisme. (Les arbres de la place Séraucourt furent brûlés, il y en eut près de 150 !) ainsi que les 60 arbres de la butte d'Archelet. Rixes, tapage nocturne, et ce furent des arrestations avec des locaux pénitentiaires trop petits. Quelle période ! Des troupes françaises arrivèrent à Bourges dont 400 Garibaldiens. Eglises et couvents furent réquisitionnés. Et puis ce furent des moments de panique, avec le bruit qui couru à plusieurs reprises des prussiens qui arrivaient.... Et puis ce fut vrai, le 6 décembre 1870, les premières troupes prussiennes entrèrent dans le département du Cher. Deux jours plus tard, un détachement arriva à Vierzon. Quelques prussiens en avant garde se dirigèrent sur Bourges et on les vit à Foëcy, Allogny et Mehun. Mais ils ne pénétrèrent pas dans l'agglomération proche et encore moins dans la ville. Il faut dire aussi que BOURGES, en plus de ses fortifications traditionnelles et anciennes avait ajouté une quatrième fortification : en particulier à l'Est et au sud afin de protéger les établissements militaires. Chaussée de Chappe, Pignoux, route de Dun, toute cette zone fut protégée avec l'aide d'ouvriers réquisitionnés à cet effet. Au nord, ce furent des batteries qui furent mises en oeuvre, au Moulon, à la butte d'Archelet, route de St Michel, rue Félix Chédin. Des batteries de campagne furent aussi mises en place à Asnières et à Saint Doulchard; A L'ouest des tranchées sont creusés à Saint Sulpice. Et enfin, 3 pièces d'artillerie sont installées à la préfecture. Et ces défenses multiples ne furent pas utilisées, l'armistice est signé le 28 janvier 1871. A partir du 15 mai 1871, les Mobiles du Cher se retrouvèrent à Bourges afin d'être démobilisés.

Additional Hints (Decrypt)

ZVXR-NYCUN-EBZRB-GNATB-VAQVN-ABIRZORE NYCUN-FVREEN-NYCUN-TBYS-NYCUN-HAVSBEZ-PUNEYVR-UBGRY-RPUB

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)