FR: vu la disparition de la boite j'ai du mettre une nouvelle faite attention a bien la camoufler après votre passage, merci. attention la photo indice n'est pas le spoiler mais bien un indice. NL: zag de verdwijning van de doos heb ik zet een nieuwe focus is de huid na uw bezoek, dank je. aandacht voor de index foto is niet de spoiler, maar een index. GB: saw the disappearance of the box I have put a new focus has made the hide after your visit, thank you. attention to the index picture is not the spoiler but an index. D: sah das Verschwinden der Box habe ich legte ein neuer Schwerpunkt ist die Haut nach dem Besuch gemacht, danke. Aufmerksamkeit auf die Index-Bild ist nicht die Spoiler, aber ein Index.
Le château de Sohan existait au sommet d'une colline près de Pepinster (vallée de la Vesdre) dans la province de Liège en Belgique.
C'est dans ce château que le comte de Las Cases a rédigé Le Mémorial de Sainte-Hélène. Le manuscrit, qui faisait partie des archives de la famille de Schiervel, a été perdu à la suite d'un prêt.
Dans les premiers jours de septembre 1944, les membres de l’Armée Secrète rallient leurs refuges et points de ralliements pour se préparer à l’action. Le château de Sohan, à Pépinster, est l’un d’eux. un groupe de résistants faiblement armé (ils attendent un parachutage) a rejoint Sohan ou, le 5 septembre, il procède à une distribution de matériel. Non loin de là, à Chinheid, stationne une colonne allemande. Le drame se déclenchera lorsque deux soldats SS faisant partie d’une colonne en retraite s’approcheront du château et seront fait prisonniers. Quatre autres suivront, qui seront pris à leur tour. Un dernier, capturé lui aussi, parviendra à s’échapper et donnera l’alerte.
Le chef du refuge de l’AS, qui ne dispose que de huit hommes armés, ordonne à sa troupe sans armes de se retirer à couvert, derrière Sohan, tandis qu’il fera appel à une autre section armée, cachée à une heure de là. Ces renforts doivent servir à retarder l’avance des Allemands vers Sohan.
L’ennemi sera le plus rapide. Signalé dès 11h30 par les sentinelles de l’AS, il arrive au château et ouvre immédiatement le feu. Les résistants armés ripostent et se défendent hardiment, face à l’ennemi qui se déploie. Ils couvrent ainsi le repli de leurs camarades désarmés, et reculent en combattant. Un des défenseurs est tué, et l’aumônier reste en arrière pour exercer son ministère.
La section a épuisé ses munitions et doit rompre le combat, mais les renforts sont arrivés. Ils prennent les allemands par le flanc et couvrent la retraite des derniers résistants sans armes. Trois Allemands sont tués dès l’engagement de le section de l’AS, mais un second résistant est abattu. Le combat se poursuivra j’jusqu’à l’épuisement des munitions de l’AS, vers 13h40, et le repli de la section.
Les SS mettront alors le feu au château ainsi qu’a la ferme voisine, et amèneront deux blindés qui ouvriront le feu sur les bois dans lesquels ils n’osent s’aventurer.il capturent l’aumônier de l’AS qu’ils torturent avant de l’achever. Ils se retournent enfin contre une famille innocente et deux autres personnes encore, réfugiées au château, qu’ils massacrent froidement.
