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#01_Jack l’éventreur Traditional Cache

Hidden : 4/14/2016
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:

Parcours  de 5 caches, pour une ballade de 30 min autour d’ENVERMEU

Le petit plus : Si vous êtes gourmand, la boulangerie NOEL fait  de merveilleux pain à la framboise !!! (Souvent sur commande) yes


L'affaire…

Entre août et novembre 1888, cinq prostituées sont retrouvées mortes dans les bas quartiers de Londres. Le premier assassinat confirmé est celui de Mary Ann Nichols, découverte éventrée et la gorge tranchée dans une impasse le 31 août 1888. Le dernier, celui de Mary Kelly, date du 9 novembre de la même année.

Le quartier de Whitechapel
(Gravure du XIXe siècle)

Les victimes de Jack l'Eventreur sont toutes des femmes, pour la plupart prostituées occasionnelles vivant dans l'"East End" londonien, à "Whitechapel". Dans ce secteur, l'un des plus misérables de la capitale, de nombreuses femmes travaillent à l'usine plus de dix-huit heures par jour pour une paye dérisoire, et complètent leur salaire grâce à la prostitution. Whitechapel est un endroit sordide et dangereux, où se concentrent tous les maux de l'Angleterre victorienne : alcoolisme, pauvreté, délinquance... Les policiers eux-mêmes ne se rendent que par groupe de quatre dans cette zone de non-droit au cœur de Londres. Cependant, les meurtres restent rares (cinq ou six par an) et la panique gagne très vite la population, dès l'annonce des premières victimes.

Des meurtres effrayants

Les crimes de Jack l'Eventreur ont eu lieu, pour la plupart, dans des lieux publics ou semi-publics, trottoirs ou cours d'immeubles. A l'époque, les prostituées ne rencontrent pas leurs clients dans des hôtels ou des appartements, mais dans des cours, des passages privés ou des impasses peu fréquentées. Les victimes ont été assassinées de manière effroyable : toutes ont été égorgées, l''Eventreur leur a ouvert l'abdomen et en a retiré les viscères pour les disposer ensuite sur leur cadavre ou les emporter.

Les rumeurs

La population est en plein émoi : elle accuse la police d'être inefficace et de ne pas s'occuper des laissés pour compte de Whitechapel. Des comités s'organisent, patrouillant dans les rues, afin de prévenir d'autres meurtres, et écrivent des lettres à la reine Victoria pour lui demander d'intervenir. Mais l'enquête avance de son côté et le profil de l'assassin se précise. Sur sa dernière victime, il a notamment prélevé l'utérus, ce qui montre un certain savoir-faire chirurgical ou, du moins, des connaissances anatomiques précises. Boucher ou médecin ? Les rumeurs vont bon train mais nombre de personnes sont prêtes à parier qu'il travaille comme "tueur" dans un abattoir.

L'impuissance des autorités

Le meurtre de Mary Kelly engendre la panique dans les rues de Whitechapel, qui sont désertées la nuit. La police, qui travaille pourtant d'arrache-pied, n'obtient aucun résultat probant et est critiquée par toute la population. La reine Victoria elle-même, furieuse, ordonne au Premier ministre de doter chaque rue d’un éclairage public et d’améliorer la formation des policiers. George Hutchinson, qui a vu Mary Kelly juste avant sa mort, donne un signalement de l'homme avec qui elle est rentrée chez elle : il s'agit d'un individu d'environ 35 ans, qui mesure 1m70, qui a les cheveux noirs et porte une petite moustache. Un homme à l'allure respectable mais "étranger". Le lendemain du meurtre, le ministre de l'Intérieur, Henry Matthews, propose un "pardon officiel pour tout complice n'ayant pas personnellement commis ou participé à un meurtre" et qui dénoncerait l'Eventreur. Cette mesure semble n'avoir été qu'une manœuvre politique car la police a alors la certitude que le tueur agit seul.

Les lettres de Jack l'Eventreur

Pendant l'annnée 1888, des centaines de lettres ont été envoyées à la presse et surtout à la police. Toutes prétendent venir du tueur et avoir été écrites de sa main : la plupart d'entre elles ne sont que des faux envoyés par des journalistes ou des personnes dérangées. Cependant, certaines lettres ("Cher Patron", "Saucy Jack" ou la "Lettre de l'Enfer") ont alors été authentifiées par des enquêteurs de la police...

Les principaux suspects

Jack l'Eventreur ("The Lodger", 1944)

Plusieurs signalements concernant l'Eventreur concordent. Le tueur serait un homme de race blanche, de taille légèrement en-dessous de la moyenne, âgé de 30 à 40 ans. Bien habillé, il habiterait dans le quartier de Whitechapel. Il semblerait qu'il possède des connaissances anatomiques relativement poussées. Il se peut qu'il soit étranger, et selon les opinions de l'époque, certainement juif... A partir de ce signalement, des dizaines de théories ont été élaborées. Il faut avouer qu'élaborer une théorie crédible sur un suspect dans cette affaire est une industrie rentable depuis plus de cent ans. Cependant, on peut retenir trois suspects qui sont entrés dans la postérité, en faisant l'objet de multiples livres et adaptations cinématographiques.

Walter Sickert, a vécu à ENVERMEU jusqu’à la fin du XIXème siècle.

La culpabilité du peintre impressionniste Walter Richard Sickert a été soutenue par la romancière Patricia Cornwell dans son livre "Jack l'Eventreur : affaire classée". Cependant, les preuves formelles recueillies par l'écrivaine n’établissent qu’une seule certitude : pendant l’année 1889, Walter Sickert a écrit des lettres à la police de Londres, en contrefaisant son écriture et en se faisant passer pour Jack l’Eventreur. L'auteur ajoute à cela une analyse psychopathologique de Sickert. Dans son livre, il est ainsi question d'une enfance marquée par un grand traumatisme physique (une opération chirurgicale qui l'aurait rendu impuissant), de dons pour le déguisement et la contrefaçon, d'un goût marqué pour la mort et d'œuvres reproduisant de manière quasi-identique des scènes de crime véritables.L'analyse, bien que convaincante, s'appuie sur des méthodes anachroniques. En essayant de persuader le lecteur que Walter Sickert est un tueur psychopathe, Patricia Cornwell utilise un profil élaboré à partir des grands tueurs en série d'Amérique du nord au XXe siècle. Cette méthode apparaît donc peu adaptée au XIXe siècle, qui a produit d'autres visions du monde, tabous et maladies mentales.

Source : L’internaute/ HISTOIRE

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Pnpué qreevèer, vy ibhf nggraq...

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)