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Ruines Maison Coloniale/Bureau du Génie -St Pierre Traditional Cache

Hidden : 7/20/2017
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:

La Cache a été placée dans le quartier du Fort de la commune de Saint Pierre au Nord de la Martinique


LE SITE

A - Ruines de la Maison Coloniale de Santé :

C'est le premier établissement psychiatrique de la Martinique a été fondé en 1838 à Saint-Pierre par monsieur Lemaire, administrateur général des hôpitaux militaires de la colonie, sur l'initiative du docteur Devèze, directeur de l'hôpital militaire, en respect de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés.
Le premier bâtiment, situé en haut de la rue Levassor, du côté surplombant la Roxelane, est acheté en décembre 1838 et l’asile est inauguré en 1839, recevant les treize premiers malades en provenance de l’hospice de Fort-de-France.
La Maison coloniale de santé est tenue par les sœurs de Saint-Paul de Chartresatch emploient pour soigner les malades, une méthode novatrice : l'hydrothérapie. Le patient est plongé dans des bains d'eau fraîche en provenance des sources du Mont-Pelé, attaché pour être douché au jet, puis cloîtré dans sa cellule. Traitement brutal, mais en progrès, comparé au moyen âge, où les médecins vous incisaient la boîte crânienne, à la recherche d'une pierre, la "pierre de la folie", supposée être source de votre maladie.Un médecin assure les soins. En outre, un gardien-chef et trois serviteurs pour 15 malades (un de plus pour 15 malades de plus) desservent la Maison de santé.
Dès 1843, une maison attenante est achetée, portant la capacité totale de l'établissement à 80 lits. Après 1848, date de l’abolition de l’esclavage, les émancipés peuvent être pris en charge grâce au financement par l’Assistance publique. Les quinze premières années, l'asile reçoit près de quatre cents patients qui statistiquement y séjournent moins longtemps que dans les hôpitaux psychiatriques de métropole. La fille de Victor Hugo, Adèle, y séjourne.
En 1860, un arrêté autorise les propriétaires de la Maison de santé à y établir une chapelle et un oratoire. En 1887, 145 aliénés y sont présents, 62 hommes et 83 femmes. En 1900, la Maison de santé s’est encore étendue et porte les numéros 3, 5 et 7 de la rue Levassor. Sa capacité d'accueil est de 200 lits.
La terrible nuée ardente émise au matin du 8 mai 1902 par la montagne Pelée détruit totalement la Maison de santé et la ville de Saint-Pierre. Seule émerge alors des ruines une chaise de force tordue par la chaleur. Parmi les quelque 30 000 victimes de la catastrophe se trouvent les 200 pensionnaires, quatorze infirmiers, cinq religieuses, deux médecins, l’aumônier et le gérant de l’établissement.
Dégagées pour moitié par les archéologues depuis 1971, les ruines de la Maison coloniale de santé s'organisent en plusieurs parties encore visibles aujourd’hui : la cour des sœurs avec la salle d'hydrothérapie, la cour des fous, la cour de la morgue et le quartier d'isolement. Il a aussi été découvert de la vaisselle, telles des assiettes qui portent la marque de la Maison coloniale de santé. Les pièces qui ont été dégagées sont encore garnies de certains éléments de mobilier, comme des lits et surtout d'énormes chaises de force en fer qui poussent à imaginer avec terreur la façon dont les malades étaient soignés.
Les ruines sont classées au titre des monuments historiques par arrêté du 12 décembre 1996.

B - Ruines du Bureau du Génie :

Juste en face de la Maison Coloniale de Santé, se trouvent les bâtiments de l'ancienne Chefferie du Génie. Le bureau du Génie est selon un plan de 1868 un ensemble qui se distribue le long de trois terrasses. En partie haute, une élévation à un étage qui domine un escalier monumental doté d'une double cascade qui tombe dans un bassin.
A la terrasse intermédiaire, se trouvent deux bassins de part et d'autre et à la partie inférieure, on trouve deux pavillons d'angle..
Ancienne habitation passée dans le domaine public vers le milieu du 19e siècle. Les hommes chargés de la construction et de l'entretien des ouvrages civils et militaires y avaient établis leurs quartiers et y entreposaient leur matériel.
Le site a été dégagé récemment (1987) par des archéologues qui poursuivent encore aujourd'hui leurs travaux. Le bâtiment principal a été complètement restauré, et les bassins du jardin dégagés.

LA CACHE :

Une fois que vous aurez stationné votre auto au bord de la route, le site est très facile d'accès. La cache de taille moyenne est placée à quelques mètres à l'entrée du site. Faîtes preuve d'une grande discrétion car les lieux sont assez fréquentés en raison de la facilité d'accès. 

The Hiding place was placed in the district of the Fort of the municipality of Saint Pierre in the North of Martinique

THE SITE :

A - Ruins of the Maison Coloniale de Santé:

It is the first psychiatric institution of Martinique was based in 1838 in Saint-Piere by mister Lemaire, general administrator of the military hospitals of the colony, on initiative of doctor Devèze, director of the military hospital, in respect for the law of June 30th, 1838 on the insane persons.
The first building, situated at the top of the street Levassor, of the side overhanging Roxelane, is bought in December, 1838 and the asylum is inaugurated in 1839, receiving the first thirteen sick from the home of Fort-de-France.
The colonial House of health is kept by the sisters of Saint-Paul of Chartresatch use to look after the sick, after an innovative method: the hydrotherapy. The patient is plunged into baths of fresh water from the sources of the Mony -Pelé, attached to be given a shower in the jet, then cloistered in his cell. Brutal treatment, but in progress, compared with the Middle Ages, where the doctors made an incision you in the cranium, in search of a stone, in the "stone of madness", supposed to be source of your disease.
A doctor assures the care. Besides, a guard-leader and three servants for 15 sick (one more for 15 sick more) serve the House of health.
From 1843, an adjacent house is bought, carrying the total capacity of the establishment in 80 beds. After 1848, date of the abolition of slavery, the emancipated can be taken care thanks to the financing by the Welfare services. On the first fifteen years, the asylum receives four hundred patients who statistically stay there less for a long time than in the psychiatric hospitals of metropolis. The girl of Victor Hugo, Adèle, stays there.
In 1860, an order authorizes the owners of the House of health to establish a chapel and an oratory there. In 1887, 145 insane persons are there present, 62 men and 83 women. In 1900, the Nursing home still extended and carries the numbers 3, 5 and 7 of the street Levassor. Its accommodation facilities are 200 beds. The terrible glowing cloud emitted in the morning of May 8th, 1902 by the Mount Pelée destroys totally the House of health and the city of Saint-Pierre. Only emerges then from ruins a chair of strength twisted by the heat. Among about 30 000 victims of the disaster are 200 boarders, fourteen male nurses, five nuns, two doctors, chaplain and manager of the establishment.
Cleared half by the archaeologists since 1971, the ruins of the colonial House of health get organized in several still visible parts today: the courtof the sisters with the room of hydrotherapy, the court of the crazy, the court of the mortuary and the solitary confinement block. It was also discovered some dishes, like plates which carry the mark of the colonial House of health. The rooms which were cleared are still furnished with certain elements of furniture, as beds and especially with enormous chairs of iron strength which urge to imagine with terror the way the sick were looked after.
Ruins are classified in conformance with historic monuments by order of December 12th, 1996.

B- Ruins of the Bureau du Génie :

Just in front of the Colonial House of Health, are the buildings of the former Chieftainship of the Genius. The office of the Genius is accordions to a plan of 1868 a set which distributes along three terraces. Partially high, a rise in a floor which dominates a monumental staircase endowed with a double waterfall which falls in a pond. On the intermediate terrace, are two ponds on both sides and in the bottom, we find two detached houses of angle.
Former house crossed in the public domain by the middle of the 19th century. The men in charge of the construction and the maintenance of the civil and military works had established their districts there and stored their material there.
The site was recently released (1987) by archaeologists who pursue even today their works. The main building was completely restored, and the ponds of the garden were cleared.

THE CACHE :

Once you have left your car, the site is very easily accessible. The small-sized cache is placed a few meters away from the site entry. Please be extremely discret as the site is easily accessible by many people. 
......Source : Wikipedia..... >/P> Flag Counter

Additional Hints (Decrypt)

Qreevèer ha zhe, nh cvrq q’har neohfgr pbhcér./// Oruvaq n jnyy, ng gur sbbg bs n phg fueho./// ABGN: - P'rfg vzcbegnag qr gbhg erzrgger ra cynpr cbhe dhr yr wrh pbagvahr.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)