Au cœur du verger, des escaliers mènent à un promontoire sur lequel est bâtie une absence de case. Ils sont le vestige d’une résidence, celle du dit Rosthon qui a fait don de ses terres à la commune quand la vieillesse ne lui permettait plus d’assurer la production. Devenue maison de gardien, squat de clochards puis tas de cendre, seules la mémoire et l’imagination reconstruisent sur quatre dalles la demeure d’antan.