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Sur le chemin des Gadis #13 Traditional Cache

This cache is temporarily unavailable.

PhilaCache: Bonjour fabrice1978,

Pour garder tout son intérêt au jeu, il est souhaitable que les caches soient opérationnelles. En effet, quelle déception de ne pas trouver une boîte, car elle a disparu ou est en très mauvais état.
Le propriétaire d'une cache a la possibilité de désactiver une cache lorsqu'elle rencontre un problème et il peut lui même la réactiver lorsqu'il en a fait la maintenance.

Les derniers logs sur votre cache semblent indiquer qu'il y a un problème. Il serait souhaitable d'y faire une visite de maintenance. J'ai donc procédé à sa désactivation temporaire.
Lorsque vous aurez réalisé la visite de maintenance ou si vous estimez qu'elle n'est pas nécessaire (cache très difficile à trouver, autre…) n'hésitez pas à la réactiver vous-même en sélectionnant "Activer la cache" sur la page de la cache.

Sans action de votre part, cette cache serait malheureusement archivée d'ici 30 jours.

Merci pour votre compréhension.

Cordialement,
PhilaCache
Geocaching Community Volunteer Reviewer

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Hidden : 4/11/2019
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


ATTENTION: Si vous comptez résoudre la cache mystère finale, il est nécessaire de prendre note de l'indice (nombre) inscrit sur la 1ère page du logbook qui est également la réponse à la question ci-dessous..

QUESTION: Combien de wez ou aubreuvoir existait-il à Aisemont?

LES WEZ OU ABREUVOIRS

Voici quelques dizaines d’années, on pouvait encore voir dans la localité des étangs, appelés communément Wéz. Une eau verdâtre y croupissait. C’était là de véritables élevages de microbes. Des miasmes dangereux s’en échappaient à foison pendant les périodes de chaleurs.

Selon Chotin, un wé ou wéz, c’est un abreuvoir, un gué. Il est possible que nos pères aient considéré les wéz sous ces deux aspects. Le wéz était surtout créé, lorsqu’il n’était pas naturel, pour servir d’abreuvoir aux bêtes ; mais aussi pour servir de réservoir d’eau pour les travaux de nettoyage et de lessivage. En été, il arrivait fréquemment que certains puits étant à sec, les ménagères viennent puiser aux wéz une eau bien précieuse, malgré son impureté. Il est bon de se souvenir qu’il n’existait pas ou peu de citernes à cette époque. L’eau de pluie était généralement recueillie dans un tonneau peint au goudron noir.

Aussi longtemps que la distribution d’eau ne fut pas instaurée, les wéz jouèrent leur rôle ; ils perdirent ensuite leur importance et devinrent le dépotoir des eaux ménagères et même l’aboutissement de drainages. L’accumulation de matières putrescibles finit par les transformer en cloaques avant qu’ils ne fussent comblés. Il faut voir dans la consommation de ces eaux impures, l’origine de certaines grandes épidémies. Quant on sait que certains, pour éviter la corvée fastidieuse de se rendre aux Fontaines, arrivaient aux Wéz, écartaient de la main la croûte verdâtre surnageant à la surfaçe de l’eau, et puisaient le liquide dans un seau pour les besoins ménagers !

Quand on sait aussi qu’il y a 150 ans et plus, une brasserie fonctionnait dans une maison (actuellement propriété de M. Marcel Thiry, près de la Maison communale) bâtie à ras du bord du Wéz de la Ferme et que l’eau adéquate à la fabrication du brassin était pompée directement à la mare !...

Des Wéz, il en existait neuf dans la localité :

Le premier, le plus important, était situé à l’emplacement de l'ancienne école maternelle et de la Maison communale (avec la cour et l’avant-cour de l’école et la moitié du « passage » entre l’école et le château) ; il s’étendait en outre devant l’ancienne maison de la Riolle (bâtiment démoli de la famille Charlier). On l’appelait Wéz de la Ferme, vu la proximité immédiate de la Ferme du Château (bien antérieure à ce dernier). Il fut aussi appelé le Vieux Wéz et encore l’étang de Catherine Nowé (du nom de l’occupante de la maison limitrophe). Une partie de son emplacement comblé servit longtemps de dépotoir public et fut dénommée « Sur les Wéz ».

Le second, sis devant l’emplacement de la salle St-Joseph s’étendait jusque la route actuelle au pignon de la maison de M. Salingros. On l’appelait, selon les uns, l’étang Dubois, selon les autres, le Wéz Bernard. Il devait l’un ou l’autre de ses noms aux propriétaires ou occupants des maisons voisines (le nom Bernard est cité à l’état-civil en 1832 ; le nom Dubois, par la suite).

Le troisième, devant la maison de M. Emile Hoffmans et celle de M. André Leclercq était appelé le Wéz Quilî, ou encore l’étang Ancelot (Quilî était un « spot » ou sobriquet, le nom Ancelot est cité à l’état-civil dès 1745).

Le quatrième au pignon de la maison de M. Jules Gemine-Martin était dénommé étang du Bout ou Wéz Haquin ou Hakin (mentions des noms à l’état-civil : Haquin dès 1662 ; Hakin, dès 1630).

Le cinquième, le plus petit, entre le presbytère et la maison Libouton, fut appelé Wéz du curé, lors de la construction du presbytère. Il était connu auparavant sous le nom de Wéz Manque (du nom Manque cité à l’état-civil dès 1733). A son propos, et en 1887, le Conseil communal considérant la nécessité de conserver en temps de sécheresse l’eau dans les abreuvoirs publics, décide qu’il sera fait à l’abreuvoir, dit «Etang Manque», des améliorations pour que l’eau ne se perde plus par l’égoût de la cave de l’école des filles. Il s’agit dans cette délibération de l’école mixte communale primitive, sise derrière l’Eglise, et occupée alors par la classe des filles, l’école des garçons ayant été bâtie en 1873.

Le sixième Wéz était situé au bout du village, près du lieu-dit le Chemin, où, de nos jours, existe encore un saule isolé, il était connu sous le vocable de Wéz Zante (déformation d’un prénom).

Le septième aux proches environs de l'ancienne ferme exploitée par M. Huys, entre le Sec-Ry et la Grosse-Haie, s’appelait Wéz Hanus (nom cité à l’état-civil dès 1821) ou Wéz des Socques. Il recevait l’eau de la Fontaine de même dénomination.

Le huitième, en-dessous de la ferme de M. Thiry, à la limite de Nèvremont, était désigné sous le nom de Wéz Moreau (cité à l’état-civil dès 1608) ou Wéz Mainil (du nom ancien de la ferme).

Enfin, le neuvième qui constituait l’espace compris entre l’actuelle ligne désaffectée du chemin de fer et les carrières s’appelait Wéz de Claminforge. Il était le trop-plein de la Fontaine Paul Culot (de Duculot, première mention du nom à l’état-civil, dès 1767).

Ajoutons à ce chapitre des Wéz ou abreuvoirs, que le 18 août 1890, le Conseil communal décide qu’il y a lieu de creuser un réservoir au lieu-dit Fays, pour fournir de l’eau aux habitants de ce hameau.

Additional Hints (Decrypt)

( arhs ) Cnaarnh vaqvpngrhe cvibgnag

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)