Skip to content

ON JOUE À CACHE-CACHE AVEC LES FOSSILES (FR/EN) EarthCache

Hidden : 8/3/2019
Difficulty:
4.5 out of 5
Terrain:
2.5 out of 5

Size: Size:   other (other)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:



LISTING & QUESTIONS EN VERSION PDF EN CLIQUANT SUR CE LIEN


SITUÉE AU CŒUR DE LA WALLONIE, RICHE DE SON PASSÉ, LA VILLE DE GEMBLOUX EST DOTÉE D'UN PATRIMOINE ARCHITECTURAL EXCEPTIONNEL (ANCIENNE ABBAYE, BEFFROI, CHÂTEAU DU BAILLI, MURAILLE D'ENCEINTE, TOUR DES SARRASINS, ETC.). POUR LEUR GROS-ŒUVRE, LES BÂTISSEURS DE JADIS Y ONT EXPLOITÉ PRIORITAIREMENT LES RESSOURCES LOCALES, COMME LA PIERRE ET SES DÉRIVÉS (SCHISTE, CALCAIRE, CHAUX) OU L'ARGILE (BRIQUES).


AVEC CETTE PETITE BALADE GÉOLOGIQUE PÉDESTRE D'ENVIRON 1,5 KM, NOUS VOUS INVITONS À (RE)DÉCOUVRIR LES JOYAUX D'ANCIENS ORGANISMES MARINS FOSSILISÉS, AINSI QUE LE SAVOIR-FAIRE DE NOS TAILLEURS DE PIERRE, PLUS SPÉCIFIQUEMENT LE TRAVAIL DE LA PIERRE CALCAIRE, OMNIPRÉSENTE AUTOUR DE NOUS. APRÈS CETTE BALADE LUDIQUE PONCTUÉE DE 15 HALTES, VOUS NE VERREZ DÉSORMAIS PLUS NOS MONUMENTS AVEC LES MÊMES YEUX... NOUS VOUS SOUHAITONS UNE BONNE BALADE ET DE FRUCTUEUSES DÉCOUVERTES.



LOCATED IN THE HEART OF WALLONIA, WITH ITS GREAT PAST, THE TOWN OF GEMBLOUX IS ENDOWED WITH AN EXCEPTIONAL ARCHITECTURAL HERITAGE (OLD ABBEY, BELL TOWER, CASTEL, CITY WALL AND TOWERS,…). FOR THEIR THICKNESS, THE BUILDERS HAVE PRIMARILY USED LOCAL RESOURCES, LIKE STONE AND ITS DERIVATIVES (SCHIST, LIMESTONE, LIME) OR CLAY (BRICKS).

WITH THIS SMALL GEOLOGICAL WALK OF ABOUT 1 MILE, WE INVITE YOU TO (RE)DISCOVER THE JEWELS OF ANCIENT FOSSILIZED MARINE ORGANISMS, AS WELL THE KNOW-HOW OF OUR STONEMASONS, MORE SPECIFICALLY THE WORK OF LIMESTONE, OMNIPRESENT AROUND US. AFTER THIS PLAYFUL STROLL WITH 15 WAYPOINTS, YOU WILL NO LONGER SEE OUR MONUMENTS WITH THE SAME EYES... WE WISH YOU A PLEASANT STROLL AND FRUITFUL DISCOVERIES.


PDF VERSION BY CLICKING ON THIS LINK





AUX ORIGINES DU CALCAIRE


Les calcaires sont des roches sédimentaires majoritairement composées de carbonate de calcium (CaCo3) ou de carbonate de magnésium (Mg Co3). Les roches calcaires constituent environ 20 % des roches sédimentaires dont les plus anciennes connues datent d'environ 3 milliards d'années, avec l'exemple des calcaires dolomitiques de Bulawayo (Zimbabwe). Depuis cette époque, en parallèle au développement de la vie sur terre, la proportion des roches calcaires s'est accrue. Les grandes périodes de sédimentation calcaire coïncident avec de grandes transgressions : Ordovicien, Carbonifère, Jurassique, Crétacé et, localement, Cénozoïque. Aujourd'hui de grandes quantités de sédiments calcaires continuent à s'accumuler, tant dans les mers chaudes que dans la plupart des océans : par exemple, des récifs, des dépôts néritiques (nord-ouest de l'Australie, golfe Persique, Bahamas) et des boues à globigérines dans la plupart des océans.

Les calcaires se forment essentiellement par accumulation au fond des mers et océans (roches sédimentaires) des coquilles des animaux marins et squelettes des micro-algues. L'apport issu des continents par érosion n'est également pas à négliger. Tous ces sédiments sont peu à peu transformés en roches sédimentaires compactes grâce à des processus complexes d'ordre physico-chimique et biochimique (diagenèse).

La petite mise en scène ci-dessous donne une fort bonne idée du processus de formation des fossiles dans les roches carbonatées (merci à Jean Duperrex pour l'aimable autorisation d'utilisation de ce dessin particulièrement parlant).



LES CALCAIRES WALLONS


Géologie de la Wallonie et frise des temps géologiques

En Wallonie, les calcaires sont réunis sous le nom générique de "pierre bleue". La pierre bleue la plus exploitée dans cette région est le "petit granit". D'âge stratigraphique Tournaisien (Carbonifère – 359,2-345,3 Ma), cette pierre est riche en fragments de fossiles. Localement renforcés par la présence de coraux, ces débris de crinoïdes cimentés par de la calcite micro-cristalline donnent à la pierre un éclat scintillant, rappelant celui du granit, d'où son appellation. Actuellement, cette pierre est exploitée dans trois principaux bassins carriers (croix bleues sur la carte ci-dessous) : trois carrières gigantesques de pierre de taille dans le Hainaut, des carrières dans la partie orientale du Condroz et les vallées de l'Ourthe et de l'Amblève (province de Liège) et un plus petit bassin dans la vallée du Bocq (province de Namur).

Par ailleurs, les "calcaires de Meuse" réunissent des pierres de type assez varié d'âge stratigraphique Viséen (Carbonifère – 345,3-326,4 Ma). De composition particulière, ces pierres sont constituées notamment de sphérules microscopiques (oolithes) disposées en strates légèrement entrecroisées, une structure propre à ces calcaires meusiens (cercles bleus sur la carte ci-dessous). Exploitée dans la région de Couthuin en province de Liège (Viséen moyen, niveau V2A à Moha, Vinalmont), d'une fort grande pureté chimique et au grain très fin, une fois travaillée, cette pierre prend une patine fort claire, au contraire du petit granit plus grisé. Autre exemple : dans cette même région (Viséen inférieur, niveau V1b à Longpré), est exploité un calcaire présentant des crinoïdes davantage dispersés que dans le petit granit, lui conférant ainsi des nuances de gris plus subtiles sur fond de beige assez discret.

Carrières de Wallonie



DIFFÉRENTS TYPES DE FOSSILES


Au vu de la grande diversité de la faune de ces époques anciennes - due au fait que ces animaux ont vécu et se sont développés dans une mer chaude peu profonde -, le registre fossilifère présent dans les roches calcaires wallonnes est extrêmement complexe. Sur le parcours de la présente Earthcache, avec un peu d'observation, vous rencontrerez différents types de fossiles. À vous de les identifier :

TYPE DESCRIPTION APERÇU
Bivalves (Bilvalvia) ou lamellibranches (Lamellibranchia) Mollusques d'eau douce ou de mer s'étant principalement développés au Paléozoïque (541-252 Millions d'années - Ma), composés de deux valves, la plupart du temps symétriques. Leur coquille était composée exclusivement de carbonate de calcium.
Brachiopodes (Brachiopoda) Animaux marins datant également du Paléozoïque, mais dont il ne subsiste aujourd'hui qu'environ 400 espèces. Composés de deux valves asymétriques, la valve ventrale est plus grande que la valve dorsale. Leur coquille était composée de phosphate et de carbonate de calcium.
Gastéropodes (Gastropoda) Mollusques à spirale apparus au Cambrien (541-485 Ma), cette espèce est assez caractéristique avec une coquille dorsale torsadée et univalve. Leur coquille était essentiellement composée de carbonate de calcium.
Coraux, type Rugosa ou Tetracorolla Animaux marins de l'embranchement des cnidaires constitués d'un exosquelette calcaire (aragonite, calcite). Les coraux agissent comme un des plus grands pièges à carbone. Éteinte aujourd'hui, la présente espèce vivant de façon plutôt solitaire fut abondante dans les mers de l'Ordovicien moyen (470-458 Ma) jusqu'à la fin du Permien (298-252 Ma), correspondant à une sévère extinction de masse. En fossiles, ils sont reconnaissables à leurs longs filaments blanchâtres, généralement de section étroite.
Coraux tabulés (type Michelinia) Comme pour les coraux Rugosa, animaux marins de l'embranchement des cnidaires constitués d'un exosquelette calcaire (aragonite, calcite), la présente espèce a vécu à la même époque. En fossiles, ils sont reconnaissables à leur structure en "nid d'abeilles" avec "alvéoles" bien distinctes (certaines ont parfois subi une recristallisation complète ou partielle, formant une zone plus blanchâtre).
Crinoïdes (Crinoidea) Animaux exclusivement marins ressemblant à des plantes, pourvus d'un squelette calcaire articulé (carbonate de calcium combiné à un faible pourcentage de carbonate de magnésium). Apparus dès le Cambrien (541-485 Ma), leur diversité sera particulièrement grande et leur permettra de survivre partiellement à la grande extinction du Permien (298-252 Ma) - actuellement, plus de 600 espèces subsistent dans nos mers et océans. Fixes ou mobiles, leur structure fortement calcifiée a permis une fossilisation aisée. Au Mésozoïque (252-66 Ma), leur abondance formait de véritables prairies sous-marines dont les fort nombreux débris forment aujourd'hui les "calcaires à entroques" (fossilisation des éléments de tiges et de bras des crinoïdes), aisément reconnaissables.
Polypier Squelette calcaire de certains coraux, constitué d'un ensemble de loges superposées, se composant d'une paroi externe (dite "muraille") et de cloisons radiales (septes) - à l'intérieur de cette structure vivent les polypes, parties vivantes de l'animal. Dans votre balade, vous aurez l'occasion d'admirer un bel exemplaire de polypier solitaire de tétra-coralliaire (Sychnoelasma) noyé dans de nombreux débris de crinoïdes.


UNE PIERRE DÉDIÉE À LA TAILLE


Les qualités technique et esthétique de la pierre bleue en font un matériau de construction de premier choix, tant apprécié dans notre pays qu'à l'étranger. Offrant de très bonnes résistances à la compression et à l'usure, cette pierre, de surcroît ingélive, est également peu affectée par les agents de la pollution atmosphérique. Elle se prête aux usages les plus variés, intérieurs comme extérieurs : revêtement de façades (lambris, soubassements), couverture de sols (moellonnage, dallages, pavés), bordures, plinthes, tablettes de fenêtre, plans de travail, marbrerie, sculpture.

Le type de taille de la pierre révèle des nuances de teintes multiples, liées à l'abondance ou la rareté des débris oolithiques et de leur liant. Les pierres plus claires (type "de Meuse") sont plutôt destinées à la taille, les plus foncées (type "petit granit") à la marbrerie. En fonction de leur qualité, quatre catégories sont généralement admises : catégorie A pour les monuments funéraires et les travaux d'exception ; catégorie B pour les constructions de prestige ; catégorie C en construction pour les pierres de taille ou de revêtement ; catégorie D pour les moellons, bordures et dalles de trottoir.



DIFFÉRENTS TYPES DE TAILLE


À usages multiples, la pierre bleue supporte différents types de taille, valorisant ainsi un savoir-faire traditionnel. Il faut distinguer le travail de la forme (débitage brut) largement mécanisé de nos jours (disques diamantés, cliveuse) et le travail de surface (finition) nécessitant un outillage spécifique, manuel ou mécanique.

Sont distingués ci-dessous 15 types de taille de finition qui vous permettront de répondre plus aisément aux différentes questions posées sur le parcours de la Earthcache :

TYPE DESCRIPTION APERÇU
Clivé Ou taille tranchée, brut de clivage, brut ou en croûte. Le clivage à gros éclats donne à la pierre un aspect naturel de teinte gris foncé parsemée de zones brillantes qui peuvent parfois contenir des traces d'argile. Bosses et creux sont répartis de manière irrégulière.
Sbattu Traits discontinus blanchâtres disposés en oblique ou parallèles aux arrêtes. Les interstices sont constitués d'une pierre plus brute de teinte grise. On peut distinguer le sbattu grossier ou fin. Taille généralement manuelle.
Strié Traits continus blanchâtres pratiquement parallèles entre eux et espacés assez largement, disposés en oblique par rapport aux arrêtes. Comme pour le sbattu, les interstices sont constitués d'une pierre plus brute de teinte grise. Taille généralement manuelle.
Bouchardé manuel Nombreux points parallèles obtenus grâce au travail de la boucharde, marteau spécial dont dont la tête est constituée d'un damier de pointes pyramidales. Le bouchardage est plus ou moins régulier, généralement en parallèle des arêtes. La teinte d'ensemble tire sur le gris clair (nombreux points blanchâtres sur fond de gris plus sombre).
Bouchardé mécanique Technique similaire au bouchardage manuel, mais le résultat final est marqué par des points plus rapprochés. L'aspect d'ensemble gris blanchâtre est généralement plus clair que pour la technique manuelle.
Sclypé Stries fines parallèles aux arêtes, creusées en V de teinte gris clair, alternant avec la pierre brute de teinte gris sombre (stries et pierre brute sont de largeur inégale). Taille exclusivement mécanique.
Gradiné Sillons parallèles aux arêtes, de largeur variable creusés en U de teinte gris clair, alternant avec la pierre brute de teinte gris sombre (sillons et pierre brute sont de largeur égale).
Ciselé manuel À la différence du sclypé et du gradiné, le ciselé est réalisé sur surface plane (sciée). Les stries de gris fort clair sont de profil dissymétrique légèrement incliné. Entre elles, de fines lignes de pierre brute de teinte gris foncé.
Ciselé mécanique Le ciselé mécanique est généralement de teinte globalement plus claire, les fines lignes de matière brute étant moins marquées.
Taille ancienne Taille manuelle d'affinage (heppelée ou retonte). Ciselé irrégulier, les stries étant plutôt rapprochées et non continues, parallèles aux arêtes ou légèrement inclinées en oblique. En gros, elle ressemble à un sbattu fort fin.
Flammé Finition mécanique sur de grandes surfaces planes sciées par le passage d'un jet de flamme. Le choc thermique fait éclater les grains superficiels, donnant ainsi une texture particulière de finition : pierre légèrement rugueuse de teinte d'ensemble gris clair (nombreuses taches blanchâtres irrégulières sur fond gris moyen).
Scié Ou brut de sciage. Surface brute d'une pierre sciée mécaniquement à l'aide d'un fil hélicoïdal (ou diamanté) ou d'un disque diamanté. La pierre laissée en l'état peut comporter des traces de sciage. Teinte gris clair.
Meulé Ou égrisé. Finition mécanique à l'aide d'abrasifs à sec ou à l'eau, faisant disparaître toute trace de sciage, mais pouvant conserver de fines rayures. Teinte de gris à bleu, suivant le type d'abrasif utilisé.
Adouci Finition mécanique à l'eau pour l'obtention d'une surface unie, mate et sans aucune rayure. Suivant l'abrasif utilisé, teintes gris bleu moyen à foncé, gris foncé à noir.
Poli Finition mécanique de type marbrier, donnant une surface unie et brillante, sans aucune rayure. Teinte noire, de laquelle se détachent des veines ou fossiles d'un blanc éclatant.



Comment valider cette Earthcache ? (pour rappel, il n'y a aucun container à trouver - vous devez vous rendre sur place et satisfaire à différentes tâches)

Répondez aux différentes questions ci-dessous et envoyez-nous d'abord vos propositions de réponses via notre profil GC. Ensuite, n'attendez pas de réponse de notre part (contact sera pris en cas de besoin) et loguez la cache en 'Found it' (pas de réponse dans le log SVP !). Avertissement : afin de suivre la procédure édictée par Groundspeak et par courtoisie pour les géocacheurs respectant les règles, tout log en 'Found it' sans envoi de tentative de réponses sera supprimé.

Pour les visites collectives, merci de nous indiquer l'ensemble des pseudos (un seul envoi de réponse pour le groupe suffit). Toutes les photos supplémentaires sont les bienvenues, mais sans donner de réponse. Merci pour votre visite.

LIRE ATTENTIVEMENT LE LISTING AVANT LA VISITE !


  • WP1 - Église décanale (ancienne église abbatiale) (N 50° 33.672 E 004° 41.633) : observez les marches (référez-vous à la photo ci-dessus). QUESTION 1. Quel est le type de travail de la pierre ? QUESTION 2. Sous la zone jaune, quel est le type dominant de fossiles (à associer à une lettre des exemples donnés dans le listing) ?

  • WP2 - Beffroi (flanc sud-ouest) (N 50° 33.642 E 004° 41.579) : observez en hauteur la pierre commémorative rectangulaire insérée dans le mur (incendie de 1905) - sur la photo ci-dessus, sous la zone blanche. Plusieurs zones blanchâtres révèlent clairement des fossiles. QUESTION 3. Tous sont de la même espèce. Quelle est-elle (à associer à une lettre des exemples donnés dans le listing) ?

  • WP3 - Beffroi (flanc nord) (N 50° 33.647 E 004° 41.573) : à gauche du soubassement du beffroi proprement dit, observez un mur avec beaucoup de pierres de réemploi (référez-vous à la photo ci-dessus). QUESTION 4. Sur la photo, sous la zone bleue, observez-vous la présence de fossile(s) ? Justifiez.
  • WP4 - Tertre Galhoz (N 50° 33.651 E 004° 41.564) - observez les marches au sol (surface horizontale). QUESTION 5. Quel est le type de travail sur les anciennes pierres ? QUESTION 6. Même question sur les nouvelles pierres.
  • WP5 - Soubassement habitation et pilier central (librairie) (N 50° 33.631 E 004° 41.589) - observez ce type de travail de la pierre, masquant presque complètement la présence de fossiles. QUESTION 7. Quel est le type de travail de la pierre ?
  • WP6 - Rose des vents (N 50° 33.589 E 004° 41.631) - observez au sol, au-dessus des marches sur la droite, une belle rose des vents assemblant du calcaire gris clair au gris foncé, laissant apparaître un certain nombre de fossiles. QUESTION 8. Combien de techniques de travail de la pierre sont-elles combinées dans cette rose des vents ?
  • WP7 - Esplanade (N 50° 33.591 E 004° 41.667) - au sol, entre les pavés en porphyre, observez de longues bandes calcaires. QUESTION 9. Quel est le type de travail de la pierre ?
  • WP8 - Soubassement habitation coin de rue (N 50° 33.636 E 004° 41.666) - QUESTION 10. Quel est le type de travail de la pierre ?
  • WP9 - Soubassement bâtiment briques rouges (banque/assurances) (N 50° 33.641 E 004° 41.677) - QUESTION 11. Quel est le type de travail de la pierre ? QUESTION 12. Ce type de travail de la pierre laisse-t-il apparaître des fossiles ?

  • WP10 - Place Saint-Jean (N 50° 33.688 E 004° 41.769) - observez les pavés de pierre au sol (référez-vous à la photo ci-dessus). QUESTION 13. Sous la zone verte, quel type de fossiles observez-vous (à associer à une lettre des exemples donnés dans le listing) ?

  • WP11 - Soubassement gauche entrée abbaye (N 50° 33.693 E 004° 41.774) - observez ces pierres anciennement taillées en sbattu (référez-vous à la photo ci-dessus). QUESTION 14. Sur la photo, sous les zones jaunes, décrivez les deux fossiles et associez-les à une lettre des exemples donnés dans le listing.

  • WP12 - Passage couvert entre cour ancienne abbaye et cour ancienne ferme (peut être verrouillé le week-end, mais on peut observer les marches à travers les barreaux du portail) (N 50° 33.715 E 004° 41.777) - observez le dessus des marches, sur la photo ci-dessus à l'endroit désigné par une flèche rouge. QUESTION 15. Identifiez le fossile bien en évidence (à associer à une lettre des exemples donnés dans le listing). QUESTION 16. Un peu plus loin (passage couvert), au sol, quels sont les deux types de travail de la pierre ? Lequel laisse apparaître le plus de fossiles ?

  • WP13 - Colonnade ancien palais des abbés-comtes (N 50° 33.732 E 004° 41.696) - observez le fût de chaque colonne constituant un bel exemple de calcaire scié. Levez les yeux à 2 mètres de haut sur la colonne de gauche (référez-vous à la photo ci-dessus). QUESTION 17. Sous la zone rose de la photo, identifiez le type de fossiles (à associer à une lettre des exemples donnés dans le listing).

  • WP14 - Marches ancien palais des abbés-comtes (N 50° 33.737 E 004° 41.701) - observez la deuxième marche à quelques mètres du WP13 (référez-vous à la photo ci-dessus). QUESTION 18. Sous la tache blanche de la photo, identifiez le fossile se distinguant par sa blancheur (à associer à une lettre des exemples donnés dans le listing).
  • WP15 - Tour de porte récemment restauré (traversez le bâtiment au départ du WP14) (N 50° 33.740 E 004° 41.689) - observez le tour de porte. QUESTION 19. Quel est le type de travail de la pierre ? QUESTION 20. Cette façon de sculpter la pierre laisse-t-elle apparaître des fossiles ? Expliquez pourquoi.
  • À n'importe quel emplacement du trajet - Sur fond de pierre calcaire travaillée et de fossile(s), prendre une photo de vous (optionnel) ou de votre GPS ou de votre téléphone ou d'un objet lié au géocaching - LA JOINDRE OBLIGATOIREMENT À VOTRE LOG, SANS QUOI CELUI-CI SERA SUPPRIMÉ APRÈS PRÉAVIS.


Orientation bibliographique :

F. BOULVAIN et J.-L. PINGOT, Cours en ligne : Une introduction à la géologie de la Wallonie, Liège, 2019 ; C. CNUDDE, J.-J. HAROTIN et J.-P. MAJOT, Pierres et marbres de Wallonie, Bruxelles, Archives d'Architecture Moderne, 1990, p. 81-129 ; J. DUPERREX, article en ligne Roches sédimentaires, 2005-2019 (?) ; F. HICHER, Les œuvriers des cathédrales, Paris, Éditions de La Martinière, nouv. éd., 2012, p. 69-75 et 87-115 ; C. KÖNIG, blog sur Futura Sciences : Cristallographie : chimie de la calcite, mise à jour 5.9.2018 ; E. POTY et E. CHEVALIER, L'activité extractive en Wallonie. Situation actuelle et perspectives, Jambes, Région Wallonne, 2004, p. 10-14 et 40-61 ; M.-L. ROGGEMANS (dir.), La mémoire des bâtisseurs, Bruxelles, Crédit Communal/Fondation Roi Baudouin, 1988, p. 11-26 ; D. M. VAN RUITEN et S. K. DONOVAN, Provenance, systematics and palaeoecology of Mississippian (Lower Carboniferous) corals (subclasses Rugosa, Tabulata) preserved in an urban environment, Leiden, the Netherlands, dans Bulletin of the Mizunami Fossil Museum, n°44, 2018, p. 39-50 ; article Calcaires, dans Encyclopaedia Universalis, Corpus, t. IV, Paris, Encyclopaedia Universalis France SA, 1993, p. 739-744 ; article Wikipédia Calcaire.


Flag Counter

Additional Hints (No hints available.)