C’est au mois d’août 1944, lors de la libération de Carcassonne que le capitaine de gendarmerie ainsi que six Allemands armés de grenades, révolvers, mitraillettes et mousquetons, sont venus chercher le gendarme André Deaubercies (1901-1944) et l’ont emmené.
Ses amis et ses proches n’ont plus eu de ses nouvelles.
Le 24 août, il sera retrouvé mort avec le visage tuméfié, en bordure de la route de Villegly à cet endroit où l’Union des Femmes Françaises a fait poser une stèle à sa mémoire.