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Basilique Notre-Dame de Montréal Basilica Virtual Cache

Hidden : 3/1/2022
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1 out of 5

Size: Size:   virtual (virtual)

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Geocache Description:


(English version follows)   Cache Virtual Reward 3.0 (2022-2023)

Vous êtes sur la Place d'Armes. C'est la place centrale de la ville historique. Les coordonnées publiées vous mènent derrière le monument à Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, fondateur et premier gouverneur de Ville-Marie. (Ce n’est qu’en 2012 que Jeanne Mance a été reconnue comme cofondatrice de Montréal, à l’égal de son homologue masculin). Le monument fait face à la basilique Notre-Dame.

You are standing on the Place d'Armes. It was the central square of the historic city. The published coordinates take you behind the monument to Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, founder and first governor of Ville-Marie. (It was not until 2012 that Jeanne Mance was recognized as a co-founder of Montreal, on a par with her male counterpart). The monument is facing Notre-Dame Basilica.

La basilique Notre-Dame de Montréal



Un lieu patrimonial emblématique de Montréal

La basilique Notre-Dame de Montréal est l'église-mère de Montréal et la première église de style néo-gothique au Canada. Son histoire, marquée par les Sulpiciens depuis sa constitution, est indissociable de celle de la Ville de Montréal. Elle témoigne de ses fondations catholiques et des liens constants entre les arts et la religion. Imité par plusieurs paroisses, son style a marqué un tournant dans la tradition architecturale religieuse.

Lieu de prière et de célébration du culte catholique, Notre-Dame est également le théâtre d’événements d’importance nationale, comme les funérailles d’État.

Élevée au rang de basilique mineure en 1982 par Jean-Paul II et désignée en 1989 lieu historique national du Canada, son importance religieuse, historique et artistique en fait l’un des joyaux du patrimoine québécois et l’un des endroits les plus visités à Montréal.

La fondation de Montréal et les débuts de la paroisse Notre-Dame

La fondation de la ville de Montréal, en 1642, est intimement liée à la fondation, à Paris, de l’ordre de Saint-Sulpice, en 1641. C’est pendant cette période, qui correspond aussi à la colonisation des Amériques, que se rencontrent, en 1635, Jérôme Le Royer de la Dauversière (1597-1659), fondateur des Filles hospitalières de Saint-Joseph de La Flèche, et Jean-Jacques Olier (1608-1657), qui fondera en 1642 le séminaire de Saint-Sulpice. Cette rencontre mène à la création de la Société Notre-Dame de Montréal en 1641 et à l’acquisition par celle-ci d’une partie de l’Île de Montréal. Les deux hommes souhaitent y bâtir une colonie et participer à l’évangélisation des peuples autochtones. Ils s’attellent donc à y faire venir plusieurs colons, essentiellement de France. Le 17 mai 1642, un peu plus d’une trentaine de colons prennent officiellement possession de l’Île de Montréal. Jeanne Mance (1606-1673) et Paul de Chomedey de Maisonneuve (1612-1676), cofondateurs de Montréal, font partie de cette première vague de colons.

Une statue de Chomedey de Maisonneuve a d’ailleurs été érigée en son honneur et inaugurée en 1895 sur la Place d’Armes, en face de la Basilique. Ce n’est qu’en 2012 que Jeanne Mance a été reconnue comme cofondatrice de Montréal, à l’égal de son homologue masculin. Les grandes étapes de la fondation de la ville, ainsi que plusieurs des personnages mentionnés plus haut sont représentés dans certains des tableaux et vitraux de la Basilique.

Les Sulpiciens et la paroisse

Jean-Jacques Olier, par l’intermédiaire du séminaire qu’il a fondé, se dévoue à la formation spirituelle et à l’initiation pastorale des futurs prêtres. En 1657, à la demande de la Société Notre-Dame de Montréal, il envoie 4 premiers Sulpiciens à Montréal, parmi les premiers diplômés du séminaire de Paris. Ils remplacent ainsi les Jésuites missionnaires qui y avaient assuré le ministère jusque-là.

En 1663, les Sulpiciens reçoivent l’autorisation royale de faire l’acquisition de l’Île de Montréal, qu’ils administreront jusqu’en 1840. En tant que Seigneurs de Montréal, de nombreuses responsabilités leur incombent, mais ils ont également le privilège de percevoir des droits et redevances. Avec ces revenus, les Sulpiciens participent donc à l’entretien de leur communauté et au développement des infrastructures de Montréal.

C’est en 1678 qu’a lieu l’institution canonique de la paroisse Notre-Dame de Montréal, dont le supérieur des Sulpiciens était le curé d’office.

La première église Notre-Dame

En 1672, on détermine l’emplacement d’une église de pierre dans l’axe de la rue Notre-Dame. Les travaux de construction coûtent une fortune, et c’est finalement seulement en 1683 que l’on inaugure la première église Notre-Dame, qui n’a au départ ni clocher ni façade, faute de moyens.

Malgré des agrandissements, l’église devient trop petite pour la congrégation grandissante : en 1819, l’église ne peut accueillir que 3 000 des 15 000 fidèles; les autres doivent assister à la messe du dimanche depuis le parvis.

Le choix d'un architecte et la construction de la nouvelle église

En 1823, la Fabrique de la paroisse Notre-Dame forme donc un comité de construction de quinze membres qui a pour mandat, en plus d’organiser des collectes de fonds, de choisir l’architecte d’une église qui peut accueillir 8 000 fidèles et être la plus belle d’Amérique. Pour ce faire, ils choisissent James O’Donnell (1774-1830), un architecte protestant de New York.

O’Donnell s’inspire du style néogothique alors en effervescence en Europe et aux États-Unis. L’architecture de la nouvelle église Notre-Dame prend notamment exemple sur les deux tours de Notre-Dame de Paris et de Saint-Sulpice. L’œuvre de O’Donnell deviendra la première église de style néo-gothique au Canada, et, jusqu’à la construction de l’église St. Patrick à New York, en 1879, le plus grand lieu de culte en Amérique du Nord – toutes confessions confondues.

Malgré les conditions météorologiques qui empêchent les ouvriers de travailler l’hiver, la construction ne prend que 35 mois, de 1824 à 1829, entre avril et octobre. Il faut toutefois attendre plus de dix ans pour l’installation des clochers, faute de moyens. O’Donnell meurt en 1830 après s’être converti au catholicisme et son corps est inhumé dans la crypte de la Basilique, où une plaque commémorative, toujours visible aujourd’hui, est érigée par les marguillers.

En 1841, on complète la tour Ouest, nommée La Persévérance. Depuis 1848, elle loge le célèbre bourdon Jean-Baptiste, qui pèse 10 900 kg et provient d’Angleterre. La tour Est, nommée La Tempérance, est terminée en 1843 et abrite un carillon de dix cloches de la même fonderie anglaise.

De nos jours, les cloches annoncent l’heure de 9h à 18h, ajoutant un coup de plus à chaque heure. La mélodie que l’on peut alors entendre est celle du carillon de Westminster, jouée par le Big Ben de Londres. À 18h, on peut entendre l’Angélus : 3 séries de 3 coups de la plus grosse cloche, suivies d’une envolée des trois plus grosses cloches. Le bourdon Jean-Baptiste ne sonne plus que lors d’occasions solennelles.

L’ancienne église Notre-Dame est donc démolie en 1830, et sa tour, en 1843 lorsque la construction des deux tours de la nouvelle église est terminée. La nouvelle église est désormais située en face de l’ancienne. L’emplacement original de l’ancienne église est encore visible au sol entre le parvis et la Place d’Armes.

En 1865, on complète la façade de l’église en y installant trois grandes statues de Saint-Joseph (saint patron du Canada), de la Vierge Marie (sainte patronne de Montréal) et de Saint Jean-Baptiste (saint patron du Québec). Son décor intérieur n’a pas pu être achevé du vivant de O’Donnell. Il suscite de nombreuses critiques à l’époque où il est terminé, en particulier à cause de l’éclairage. En effet, une verrière occupant l’emplacement du sanctuaire actuel aveuglait les fidèles durant les messes d’une lumière en contre-jour. Dès 1856, la Fabrique demande donc une révision des plans. Sous la direction de l’architecte montréalais Victor Bourgeau (1809-1888), les travaux d’embellissement du décor intérieur se déroulent de 1872 à 1875, puis de 1879 à 1880. Finalement, la dernière œuvre réalisée sous la direction de Bourgeau, avant sa mort en 1888, est la Chaire de Vérité, l’un des éléments de décor les plus marquants de l’église. D’après les plans du sculpteur Henri Bouriché (1826-1906) adaptés par Bourgeau, c’est Louis-Philippe Hébert (1850-1917) qui exécute des sculptures sur bois qui l’ornent.

La chapelle Notre-Dame-du-Sacré-Coeur

En 1889, le curé Léon-Alfred Sentenne confie aux architectes Perreault et Mesnard la construction d'une chapelle qui sert aux cérémonies rassemblant un nombre restreint de personnes, comme les mariages et les funérailles. Baptisée Notre-Dame du Sacré-Cœur et inaugurée le 8 décembre 1891, elle affiche un style éclectique riche en colonnes, arcs, frises et motifs sculptés.

Malheureusement, un incendie l'endommage gravement le 7 décembre 1978. Sa reconstruction est confiée aux architectes Jodoin, Lamarre, Pratte et associés qui suggèrent de reconstruire les deux premiers niveaux à l'identique, en faisant appel à des ébénistes, sculpteurs et menuisiers qui travaillent selon des méthodes d’époque. La voûte reçoit un traitement moderne qui permet un éclairage naturel et le retable est confié au sculpteur Charles Daudelin (1920-2001), qui conçoit une imposante œuvre de bronze de 20 tonnes, mesurant 52 pieds de hauteur par 17 pieds de largeur (15,85 x 5,18 mètres). La nouvelle chapelle est inaugurée en 1982. Aujourd’hui, elle est réservée à l’Adoration et au recueillement, ainsi qu’aux mariages.

D'hier à aujourd'hui; d'église à basilique

Notre-Dame a pris racine dans ce que nous appelons aujourd’hui le Vieux-Montréal et a été partie prenante des grands événements du XIXe et XXe siècle. C’est le Pape Jean-Paul II qui, le 21 avril 1982, élève l’église Notre-Dame au rang de basilique mineure. Une occasion de reconnaître l’importance religieuse, historique et artistique de la basilique Notre-Dame de Montréal, l’un des joyaux du patrimoine québécois.

Lieu d’histoire, Notre-Dame a été désignée en 1989 comme lieu historique national du Canada par la Commission des lieux et monuments historiques du Canada.

Depuis sa fondation, la Basilique a été le théâtre de grands événements religieux et culturels, notamment :

Depuis 1918, c’est là que sont célébrées les fêtes commémoratives annuelles de la fondation de la ville, sous l’égide de la Société historique de Montréal. Le 17 mai 2017, la messe commémorant le 375e anniversaire de la métropole a été donnée à la Basilique en présence de nombreuses personnalités, notamment des premiers ministres du Canada, Justin Trudeau, et du Québec, Philippe Couillard.

Plusieurs funérailles importantes y sont célébrées, incluant celles de sir Georges Étienne Cartier, Pierre-Elliot Trudeau, Maurice Richard, Charles Daudelin, Bernard Landry, et celles de 9 des 14 victimes du féminicide de l’École Polytechnique.

Jean-Paul II y a célébré une messe pour les enfants le 11 septembre 1984.

Céline Dion et René Angélil y ont célébré leur mariage le 17 décembre 1994.

Lieu de culture, la Basilique, grâce à son impeccable acoustique, est très fréquentée par les mélomanes qui peuvent y apprécier les nombreux concerts, chorales et notre orgue Casavant. Luciano Pavarotti s'est notamment produit à la Basilique en 1978 pour enregistrer un concert de Noël. L’Orchestre symphonique de Montréal y a également joué régulièrement.

Active et innovante, l’équipe de la Basilique y a également initié des expositions et des performances. Le spectacle de son et lumière Et la lumière fût a été présenté pendant 10 ans, attirant 300 000 spectateurs. Depuis mars 2017, AURA, une production de Moment Factory initiée par la Basilique, est présentée plusieurs soirs par semaine et a été vue par plus de 650 000 personnes en provenance de 137 pays entre 2017 et 2020. Cette expérience lumineuse
unique permet aux spectateurs de redécouvrir les beautés intérieures et architecturales de la Basilique.

Lieu de tourisme, la Basilique accueille annuellement près d’un million de visiteurs venus du monde entier, unanimes sur la beauté des lieux, et qui ont ainsi l’occasion de prendre contact avec l’histoire religieuse du Québec.

source: https://www.basiliquenotredame.ca/fr/a-propos/histoire

Nous vous invitons à visiter l'intérieur de la basilique pour apprécier toute sa splendeur.


Notre-Dame Basilica of Montréal

An Emblematic Heritage Site in Montréal

Notre-Dame Basilica of Montréal is Montréal’s mother church and was the first Gothic Revival style church in Canada. Its history has been marked by the Sulpicians since its foundation and is inseparable from that of Montréal. It speaks to its Catholic roots and the eternal link between art and religion. The Basilica’s style was imitated by several parishes and marked a turning point in religious architectural tradition.

In addition to being a place for prayer and celebration of Catholic worship, Notre-Dame is also a place for important national events like state funerals.

It was raised to the rank of minor basilica by Pope John Paul II in 1982 and designated a National Historic Site of Canada in 1989. Its religious, historical and artistic importance makes it a treasure of Quebec’s heritage and one of the most visited sites in Montréal.

Montréal’s Founding and the Beginnings of the Notre-Dame Parish

The city’s founding in 1642 was closely linked to the founding of the Society of the Priests of Saint Sulpice in 1641 in Paris. During this period, which also coincides with the colonization of the Americas, Jérôme Le Royer de la Dauversière (1597-1659), founder of the Filles hospitalières de Saint-Joseph de La Flèche, and Jean-Jacques Olier (1608-1657) met in 1635 and went on to create the Seminary of St. Sulpice in 1642. This meeting led to the creation of the Société Notre-Dame de Montréal in 1641, and its acquisition of part of the Island of Montréal. The two men wanted to build a colony there and participate in the evangelization of the Indigenous people. They set out to bring several settlers over, mainly from France. On May 17, 1642, the settlers officially took possession of the Island of Montréal. Jeanne Mance (1606-1673) and Paul de Chomedey de Maisonneuve (1612-1676) were members of this first wave of settlers.

Chomedey de Maisonneuve has a statue in his honour at Place d'Armes, opposite the Basilica, inaugurated in 1895. Jeanne Mance was only recognized as a co-founder of Montréal in 2012, on equal standing with her male counterpart.

Some of these figures, as well as the major stages of the founding of the city, are represented in several paintings and stained glass windows at the Basilica.

Sulpicians and the Parish

Through the seminary he founded, Jean-Jacques Olier devoted himself to the spiritual education and pastoral initiation of future priests. In 1657, at the request of the Société Notre-Dame de Montréal, he sent the first four Sulpicians to Montréal. They were some of the first graduates from the seminary in Paris. They replaced the Jesuit missionaries who had previously ministered there.

In 1663, the Sulpicians got royal authorization to acquire the Island of Montréal and administered it until 1840. As Seigneurs of Montréal, they had many responsibilities but also had the privilege of collecting duties and taxes. With this income, the Sulpicians maintained their community and developed Montréal’s infrastructure.

In 1678, the canonical institution of the parish of Notre-Dame de Montréal was created. The superior of the Sulpicians was the parish priest.

First Notre-Dame Church

In 1672, the location was chosen for a stone church within the axis of Notre-Dame Street. The construction work cost a fortune, and when the Church of Notre-Dame finally opened in 1683, it had no bell tower or façade due to lack of funds.

Despite extensions, the church became too small for its growing congregation. In 1819, the church was only able to accommodate 3,000 out of its 15,000 worshippers. The rest had to attend Sunday Mass from the parvis.

Choosing an Architect and Building the New Church

In 1823, La Fabrique de la paroisse Notre-Dame formed a fifteen-member construction committee in charge of organizing fundraisers and selecting an architect to design a church that could accommodate 8,000 worshippers and be the most beautiful in North America. To do this, they chose a New York Protestant architect, James O'Donnell (1774-1830).

O'Donnell was inspired by the Gothic Revival style that was then flourishing in Europe and the United States. The architecture of the new Notre-Dame Church is inspired by the two towers of Notre-Dame de Paris and the Church of Saint-Sulpice. O’Donnell’s work became the first church in the Gothic Revival style in Canada and, until St. Patrick’s Cathedral was built in 1879 in New York, was the largest place of worship in North America of any religion.

Despite weather conditions that prevented work in winter, construction would only take 35 months, from 1824 to 1829, between April and October. However, it took more than ten years for the installation of the bell towers. O'Donnell passed away in 1830 after converting to Catholicism. His crypt is under the Basilica, where a commemorative plaque that you can still see today was placed by the churchwardens.

The West Tower was completed in 1841 and was named La Persévérance. Since 1848 it has been home to the famous bell, Jean-Baptiste, which weighs 10,900 kg (24,000 lbs) and comes from England. The East Tower, named La Tempérance, was completed in 1843 and houses a carillon of ten bells from the same English manufacturer.

Nowadays, the bells ring every hour from 9 a.m. to 6 p.m., adding one ring every hour. The melody you hear is the same as the Westminster carillon that Big Ben plays in London. At 6 p.m., you can hear the Angelus: three series of three rings from the biggest bell followed by a flurry from the three biggest bells. Jean-Baptiste, the bourdon bell, only rings for solemn events.

The old church of Notre-Dame was demolished in 1830 along with its tower in 1843, when construction on the two towers of the new church was completed. The new church is across from where the old one was. The traces of the old church are still visible on the ground between the parvis and Place d'Armes.

In 1865, the façade of the church was completed with the installation of three large statues of St Joseph (patron saint of Canada), the Virgin Mary (patron saint of Montréal) and St John the Baptist (patron saint of Quebec). The interior decor could not be completed during O'Donnell's lifetime. This attracted a lot of criticism at the time, especially due to the lighting; a window located where the current sanctuary is blinded the congregation during Mass by backlighting the ceremony. As early as 1856, La Fabrique Notre-Dame asked for a review of the plans. Under the direction of Montréal architect Victor Bourgeau (1809-1888) the interior decorations were done from 1872 to 1875 and from 1879 to 1880. The last work produced under Bourgeau before his death in 1888 was the Chaire de Vérité [The Pulpit of Truth],one of the most striking decorative elements in the church. Louis-Philippe Hébert (1850-1917) created the wood carvings that adorn it based on the plans of sculptor Henri Bouriché (1826-1906) that Bourgeau had adapted.

Notre-Dame-du-Sacré-Coeur Chapel

In 1889, pastor Léon-Alfred Sentenne entrusted architects Perreault and Mesnard with the construction of a chapel for ceremonies gathering a limited number of people, such as weddings and funerals. Named Notre-Dame du Sacré-Cœur and opened on December 8, 1891, it has an eclectic style full of columns, arches, friezes and sculpted motifs.

Unfortunately, a fire caused serious damage on December 7, 1978. Reconstruction was entrusted to architects Jodoin, Lamarre, Pratte and associates, who suggested reconstructing the first two levels using woodworkers, sculptors and carpenters who worked with historical methods. The vault received a modern treatment that allowed for natural light to come in, and the altarpiece was entrusted to sculptor Charles Daudelin (1920-2001), who designed an imposing 20-tonne bronze piece measuring 52 feet high and 17 feet wide (15.85 x 5.18 metres). The new chapel was inaugurated in 1982. Today, the chapel is reserved for adoration and meditation as well as weddings.

From Then to Now; from Church to Basilica

Notre-Dame took root in what we now call Old Montréal and was part of the biggest events in the 19th and 20th centuries. Pope John Paul II raised Notre-Dame Church to the rank of minor basilica on April 21, 1982. This was an opportunity to recognize the religious, historical and artistic significance of the Notre-Dame Basilica of Montréal, a treasure of Quebec's heritage.

Given its significance, Notre-Dame was designated as a national historic site by the Historic Sites and Monuments Board of Canada in 1989.

Since its founding, the Basilica has been the site of major religious and cultural events.

Since 1918, the annual festivities to commemorate the city’s founding have been celebrated here, under the aegis of the Société historique de Montréal. On May 17, 2017, a Mass commemorating the city's 375th anniversary was held at the Basilica with many notable people in attendance, including the prime minister of Canada, Justin Trudeau, and the premier of Quebec, Philippe Couillard.

Several significant funerals were held there, including those of Sir Georges Étienne Cartier, Pierre-Elliot Trudeau, Maurice Richard, Charles Daudelin, Bernard Landry, and 9 out of the 14 victims of the École Polytechnique femicide.

Pope John Paul II celebrated a Mass for children here on September 11, 1984.

Céline Dion and René Angélil got married here on December 17, 1994.

As a cultural site, the Basilica is often frequented by music lovers who can listen to concerts, choirs and the famous Casavant organ, thanks to its impeccable acoustics. Luciano Pavarotti performed at the Basilica in 1978 to record a Christmas concert. The Montréal Symphony Orchestra has also played here regularly.

The active and innovative team at the Basilica also started exhibitions and shows. And Then There Was Light—a sound and light show—was performed there for ten years and attracted over 300,000 visitors. Since March 2017, AURA, a Moment Factory production started by the Basilica, was presented six evenings a week and was seen by over 650,000 people from 137 countries between 2017 and 2020. This unique light experience allows spectators to rediscover the breathtaking interior and architectural wonders of the Basilica.

As a tourism hotspot, the Basilica welcomes close to a million visitors from all over the world every year, each of them enthralled by its beauty while also getting an opportunity to explore Quebec’s religious history.

source: https://www.basiliquenotredame.ca/en/about/history

We invite you to visit the interior of the basilica to appreciate its unique beauty.



À propos du Géocaching:

Pour enregistrer cette cache comme trouvée, vous devrez:

1- Prendre une photo de vous et/ou votre GPS aux environs des coordonnées publiées afin de voir la pointe du mat du drapeau dans la main droite de Maisonneuve touchant la base de la croix sur le toit de la basilique. (La photo du visage n'est pas obligatoire). Cette photo prouvera votre présence sur les lieux.

2- Répondre aux quatre questions faciles suivantes et me faire parvenir vos réponses via la messagerie Géocaching ou par courriel. SVP Ne pas inscrire vos réponses dans votre log de cette cache. Vous pourrez ensuite enregistrer votre "found" sans attendre mon appobation. S'il y avait erreur, vous serez contacté par la suite.

     Question A: Calculez la somme des huit gros chiffres dorés sur le monument de Maisonneuve. (Réponse inférieure à 50)

     Question B: Lequel de ces trois animaux ne se retrouve pas sur un des bronzes du monument: cheval, chien ou poisson?

     Question C: Comptez le nombre d'étoiles dorées autour de la tête de la Vierge Marie sur la façade de la basilique.

      Question D: Quel est le nom du bourdon (cloche) qui pèse 10 900 kg et provient d'Angleterre? (Lisez le texte de cette cache)

Selon les règles pour ce type de cache, vous devez visiter les coordonnées avant de pouvoir poster votre log. Tout log "Found" sans photo et sans avoir envoyé les réponses sera effacé sans autre préavis.

 

Talking about Geocaching:

To log this cache as found, you must:

1- Take a photo of you and/or your GPSr from the surroundings of the published coordinates to see the tip of the flagpole in Maisonneuve's right hand touching the base of the cross on the roof of the basilica. (Face not mandatory). This photo will prove your presence at the cache.

2- Answer the following four easy questions and send me your answers via Geocaching messaging or email. Please do not enter your answers in your log of this cache. You may then log your "Found" without waiting for my approval. If there was an error, you will be conctacted afterwards.

     Question A: Calculate the sum of the eight large golden numbers on the Maisonneuve monument. (The answer is less than 50)

     Question B: Which of these three animals is not found on one of the monument's bronzes: horse, dog or fish?

     Question C: Count the number of golden stars around the head of the Virgin Mary on the facade of the basilica.

    Question D: What is the name of the bell that weighs 10,900 kg (24,000 lbs) and comes from England? (Read the cache page)

According to the rules for this type of cache, you must visit the coordinates before you can post your log. Any "Found" log without a photo and without having sent the answers will be deleted without further notice.

 

La visite de nos caches est notre récompense! Merci     Visiting our caches is our reward. Thank you  Gracias  Danke  Grazie  Obrigado Děkuji


Récompenses Virtuelles 3.0 - 2022-2023                                                                                                                                                                  Cette Cache Virtuelle fait partie d'une édition limitée de Virtuelles créées entre le 1er mars 2022 et le 1er mars 2023. Seuls 4000 propriétaires de caches ont obtenu la possibilité de faire publier une Cache Virtuelle. Apprenez-en plus au sujet des Virtual Rewards 3.0 sur le Blogue de Géocaching.

Virtual Rewards 3.0 - 2022-2023                                                                                                                                                                                This Virtual Cache is part of a limited release of Virtuals created between March 1, 2022 and March 1, 2023. Only 4,000 cache owners were given the opportunity to hide a Virtual Cache. Learn more about Virtual Rewards 3.0 on the Geocaching Blog.

Additional Hints (No hints available.)