La Commune de Bièvres vous propose de retrouver les éléments qui constituent le blason de notre village. Le premier blason de Bièvres fut choisi 
par Georges Mareschal, premier chirurgien du roi Louis XIV et seigneur de Bièvres. Sur ce blason vert (en souvenir de l’Irlande dont il est originaire), apparaît une rivière blanche, la Bièvre. De part et d’autre, on peut voir trois cristaux blancs qui pour les uns évoquaient des rochers, nombreux dans les forêts de la commune, pour d’autres trois petits tas de sel, ou voire la médecine ou encore le nom de la mère de Georges Mareschal. En 1900 ce blason a changé pour devenir celui que nous connaissons aujourd’hui . En trouvant les quatre caches, retrouvez-le et apprenez un peu de l’histoire de notre commune.
Le fond du blason de Bièvres est vert. Si à l’origine ce vert symbolise l’Irlande, terre natale du premier seigneur de Bièvres, Georges Mareschal, il représente bien l’écrin de verdure dans lequel est enracinée la commune.
Implantée dans la vallée de la Bièvre, Bièvres bénéficie d’un environnement naturel préservé, constitué de plusieurs forêts : le bois du Loup Pendu au nord, le bois de Montéclin à l’ouest, le bois du Chat Noir et les Brûlis au sud. Pour protéger l’esprit du lieu et signifier leur attachement à la préservation de ce patrimoine naturel riche, plusieurs associations et personnalités biévroises ont été les artisans du classement de la Vallée de la Bièvre en zone naturelle protégée en 2000.
De vastes parcs, restes des grandes propriétés bourgeoise, sont accessibles au public. Le parc du château des Roches mêle jardin anglais et parterres ; le parc de La Martinière, choisi comme site pilote de la convention « Nature en Ville » en 2019 pour favoriser et promouvoir la biodiversité urbaine ; le domaine Ratel, situé en plein cœur de la commune, site exceptionnel et de promenade où on trouve la ferme pédagogique du Relais Nature.
C’est le charme pittoresque et le calme naturel de Bièvres qui ont poussé Victor Hugo à faire de nombreuses retraites littéraires au château des Roches. Il écrit dans son poème à Virgile :
« J’ai trouvé, dans une ombre où rit l’herbe fleurie,
Entre Buc et Meudon, dans un profond oubli,
- Et quand je dis Meudon, suppose Tivoli ! -
J’ai trouvé, mon poète, une chaste vallée
A des coteaux charmants nonchalamment mêlée,
Retraite favorable à des amants cachés,
Faite de flots dormants et de rameaux penchés »
Indice supplémentaire :
20.1.19 - 4.5 - 2.15.9.19
Clé de déchiffrement :
