Les caches de la série « La voie verte de l’Huveaune » sont indépendante les une des autres, mais l’idéal serait de les faire dans l’ordre croissant ou, au pire, décroissant, c’est vous qui voyez ! Le parcourt fait un peu plus de 2,7 Km. Certains camouflages ont demandé de la réflexion, du travail et du temps, et certaines sont fragiles. Prenez en soin et remettez les bien à leurs place comme si c’était vos propres caches. Merci d’avance et bonne chasse à tous.
Le nom Huveaune viendrait de "Ubelka", qui, en langue celto-ligure, signifierait "la Dévastatrice". Ce nom évoque la puissance des crues qui pouvaient autrefois gonfler ce fleuve. Pourtant, aujourd’hui, l’Huveaune est un cours d’eau relativement paisible. Elle prend sa source sur la commune de Nans les Pins, à 590 m d'altitude au fond d'un cirque pittoresque, sur le versant nord de la Sainte-Baum, et c'est, selon la légende, les larmes de Sainte-Marie-Madeleine qui alimenteraient le cours d'eau (elle vécut 33 ans dans une grotte sur le massife). La longueur de son cours est de 48,4 km.
Elle est restée naturelle jusqu'à Aubagne, avant de se jeter dans la Méditerranée, à Marseille. Ce petit fleuve, très pollué jusque dans les années 1980, a retrouvé une bonne qualité bactériologique. Y vivent 11 espèces de poissons, et plusieurs espèces de gibier d'eau : canards, grues et en particulier le colvert.
Un agréable sentier aménagé à Marseille permet de suivre l’Huveaune depuis la plage du même nom jusqu’au collège Louise Michel avec quelques interruptions urbaines : L’avenue de Mazargues, le boulevard Michelet, le boulevard de Sainte-Marguerite et le boulevard Schloesing. Tout au long de la promenade, l’Huveaune dévoile ses berges aménagées, offrant une parenthèse de verdure. Le parcours est idéal pour une balade à pied ou à vélo !
Ne cherchez par à regarder l’eau couler sous ce pont, il n’y en a pas car depuis 1986 le fleuve Huveaune ne se jette quasiment plus à la mer. Une grande partie du cours d’eau est détournée vers une station d’épuration souterraine pour éviter la pollution des plages. Ce n’est qu’en cas de fortes pluies que l’éxédent s’écoule dans l’ancien lit naturel.