Commune périurbaine, les activités agricoles y sont pourtant nombreuses (production de lait, fromages, viticulture, polyculture).
L'origine de la cité remonte à l'époque romaine. Le premier signalement écrit date de 1168 parmi les possessions de l'ile Barbe à Lyon.
Au XIXème siècle, la commune avait une forte activité industrielle (mines et trafic important sur le canal qui allait de Givors à Rive de Gier). Des sarcophages gallo-romains extraits de l'industrie minière, exposés dans le village, témoignent de ce passé.
L'église Saint Pierre es liens, qui date du XVième siècle, possède, dans son clocher, une cloche classée à l'inventaire des monuments historiques. Au même classement, se trouvent aussi l'écluse du Rocher Percé avec sa maison éclusière, l'ensemble venant d'être réhabilité.
Patrie d'Antoine Arbel (1855-1933), député de la Loire, qui fut un directeur des Forges de Couzon, Tartaras est aussi la patrie de Charles Bossut (1730-1814) célèbre mathématicien, collaborateur de l'encyclopédie de Diderot et père de l'hydrodynamique expérimentale. Son buste, situé près de l'église, a été inauguré en 1933.
Tartaras est une des communes du Pays du Gier ainsi que de la communauté d'agglomération de Saint Etienne Métropole.
La habitants de Tartaras sont les TARTARINAIRES.
Possibilité de se garer au centre du village facilement .
Un sentier de randonnée va jusqu'a la roche percée ( il y a une autre cache )
La cache est à l'abris des moldus , mais à proximité d'habitations donc opération à faire discretement ;-)